Et pour finir, une pensée joyeuse pour tous ces supers séminaires de travail au @labo-cerlis.bsky.social. On se sera bien amusé-es avec ces tutos !

Et un grand merci, surtout, au collectif des ancien-nes doctorant-es de Dominique, Quentin Gilliotte, Florence Eloy, Tomas Legon, Irène Bastard, Sébastien FRANCOIS, Marine Jouan de nous avoir permis, à Laurianne Trably, Muriel Mille et moi-même, de nous y associer. 🫶

Une pensée pour les membres de la revue, qui ont dû boucler ce numéro dans ces circonstances bien tristes, en particulier Valérie Beaudouin à qui est revenue la lourde tâche d’œuvrer côté revue et côté équipe AppLAB, et qui ont rendu possible la publication de ces hommages.

Vraiment hâte de lire les articles des collègues : @quentingilliotte.bsky.social, Éric Dagiral, Valérie Beaudouin, @olivier-martin.bsky.social Beraud Martin, Christophe Prieur, Vinciane Zabban, Vincent Berry, @noemieroques.bsky.social et Christian Licoppe.

Espérons et faisons en sorte d’avoir l’occasion de travailler à nouveau de cette manière !

offrir une place à qui le souhaite, écouter les idées des un-es et des autres et ce au-delà de leur statut ou de leur expérience, tout en cadrant les échanges de manière à ce que le collectif parvienne à bon port.

Plutôt que de présenter l’article que j’y ai publié, en grande partie grâce à Dominique, j’aimerais rendre hommage à sa manière très inspirante de coordonner un groupe de recherche :

Merci tout particulier à Sanja Beronja, Marion Flécher et Maud Hetzel pour l'orga de la journée passionnante qui a donné lieu à ce numéro, puis pour la coordination externe du numéro :) Merci à Gwladys Hadjimanolis et Diane Rodet pour la coordination en interne.

On observe donc une cartomancie à "deux vitesses". Là où certaines continuent de produire des contenus en flux-tendu, d'autres viennent modifier la structure et le sens du travail de la voyance, en y injectant les valeurs du développement personnel qui caractérisent leur approche de la cartomancie.

Nos enquêté·es les plus doté·es parviennent à la faire évoluer en développant des services complémentaires (coaching, formation), moins soumis aux aléas de la production de vidéos et moins pénibles au quotidien (notamment parce qu'ils impliquent de s’adresser à des consultant·es moins fragiles).

Cette première étape du développement de l’activité s’avère néanmoins difficile à maintenir sur le long terme, en raison de l’important travail émotionnel engagé auprès des audiences, et des difficultés à articuler les temps personnels et professionnels.

Ces activités deviennent très rapidement rémunératrices (notamment en raison d'une forte demande) à travers la publication de vidéos gratuites servant de produits d'appel vers des consultations individuelles menées à distance.

On s'y intéresse aux activités de cartomancie menées en ligne, qui sont principalement exercées par des femmes issues des classes populaires et moyennes, ayant pour grande partie lancé leur chaîne YouTube dans des moments de fragilité économique et personnelle (ruptures conjugales, perte d'emploi).