Entre lucidité et conformisme, l’Europe environnementale gagnerait à assumer pleinement les limites planétaires et les renoncements qu’elles impliquent.

L’enjeu n’est plus seulement de verdir la croissance, mais de repenser nos priorités collectives

La note complète est disponible sur notre site :

Cependant, en plaçant la compétitivité, l’innovation technologique et la finance verte au cœur de son argumentaire, le rapport reste aligné sur les logiques économiques dominantes.

Cette approche tend à réduire la transition écologique à un simple levier de croissance.

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Redresser les finances publiques sans sacrifier l’avenir : tel est l’enjeu de notre nouvelle publication « Les idées de… » signée Anne-Laure Delatte.

Et si rigueur et investissement pouvaient aller de pair ?

Une autre trajectoire budgétaire est possible, alliant ambition et responsabilité 👇

Relocaliser l’extraction ne suffira pas à sécuriser la transition : tel est le constat de notre dernière publication.

Face à la dépendance vis-à-vis de la Chine, la relance minière doit s’accompagner d’une planification démocratique de l’usage des ressources

Notre Croquis revient sur ces enjeux 👇

🔁 Relocaliser ne suffira pas.

Chaque métal extrait doit être utilisé de la manière la plus efficace possible.

La relance minière européenne appelle à une véritable planification écologique et démocratique.

La note complète est disponible sur notre site :

⚙️ Avec le Critical Raw Materials Act, l’UE veut produire 10% de ses besoins en métaux d’ici 2030.

Mais ouvrir des mines prendra du temps et n’éliminera pas notre dépendance.

L’enjeu n’est pas seulement de rouvrir des mines, mais de repenser nos usages : recyclage, sobriété, mobilité, numérique.

🌍 Après des décennies de délocalisation, l’Europe dépend désormais de l’Asie, de l’Afrique et de l’Amérique latine.

Cette dépendance s’est construite au prix d’une externalisation des coûts sociaux et environnementaux.

➡️ Résultat : une vulnérabilité stratégique face à la Chine.

Un budget plus efficace, soutenable et tourné vers l’avenir :

🌱 moins d’austérité,
📈 plus de croissance,
🤝 et une trajectoire crédible pour les finances publiques.

De quoi nourrir le débat parlementaire ! A lire sur notre site ⬇️

En prenant en compte des multiplicateurs différenciés par type de dépense/prélèvement, la note évalue l’impact réel d’un ajustement plus progressif.

🧮 En combinant hausses ciblées à faible effet récessif et investissements prioritaires, le coût pour l’État — et pour les Français — est bien moindre.

Dans cette nouvelle note, Anne-Laure Delatte propose une alternative :

➡️ 118 Md€ de nouvelles recettes et d’économies
➡️ 78 Md€ d’investissements d’avenir

👉 Et à l’horizon 2031, la dette et le déficit reculent — sans sacrifier la croissance ni la transition écologique.

Les débats budgétaires s’ouvrent à l’Assemblée. Et si une autre voie était possible ?

Le plan actuel du gouvernement prévoit 110 Md€ d’effort d’ici 2031 — soit deux fois le budget de l’Éducation nationale.

Mais au prix de coupes dans les investissements essentiels : climat, santé, éducation ...

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Articuler redressement budgétaire, transition et justice sociale : tel était le cœur du colloque @ecologistesenat.bsky.social au Sénat. Des pistes existent pour financer la transition sans creuser le déficit, à condition d’assurer l’adhésion sociale
Notre tribun revient sur ces questions 👇

Le budget français s’est verdi, mais tout dépend des conventions retenues. Des marges de progrès existent dès cette année, alors que les négociations s’intensifient. Reste à anticiper la chute des recettes énergétiques à venir
Notre dernier croquis par @cyprienbatut.bsky.social décrypte ces enjeux 👇

Vers un budget juste et écologique, à lire sur notre site 👇

🌿 La clé d’un budget plus vert ? L’acceptabilité sociale.
 
Elvire Guillaud (Université Paris 1) le rappelle : les Français sont prêts à soutenir des hausses ciblées de prélèvements quand l’objectif est clair et partagé.

Pour @alexpoidatz.bsky.social, la fiscalité climatique doit cibler les multinationales qui n’investissement pas assez dans la transition.
 
💡Taxer les dividendes « climaticides » des entreprises non alignées sur leurs trajectoires de décarbonation pourrait générer 48 Md€ de recettes par an.