Ce n'est peut-être pas le fond du problème, non ?

La joueuse qui nous a raconté cela nous a dit que personne ne l'a soutenue quand elle a dit que ça ne passait pas et qu'il a fallu s'y reprendre à quatre fois pour que le type passe à autre chose.

Ah ben c'est bien la peine qu'on se fatigue à mettre en exergue des phrases !
Sinon, oui les filles et les garçons sont différents. Mais pas forcément tant que ça. Et peut-être peut-on présenter et enseigner les échecs aux filles d'une manière qu'on leur montre qu'elles y ont leur place ?

Vous savez qu'il y a une entraineur, en région parisienne, qui explique depuis des années à ses joueuses qu'elles ne pourront jamais jouer aux échecs aussi bien que les garçons, car « les filles ne sont pas assez agressives pour les échecs » ?

C'est étrange mais ces derniers jours on nous dit (surtout sur Facebook) qu'on « salirait » les échecs à dénoncer des choses qui s'y passent. Comme si le problème c'était d'en parler et pas que ça existe.

En quoi c'est une polémique qui ne mène à rien de supposer que si les joueuses sont - nombreuses que les joueurs c'est parce qu'elles sont socialement conditionnées ?
Ce à quoi on veut arriver, c'est qu'on trouve des idées pour former les joueuses à avoir un meilleur niveau et à être + nombreuses.