L’URSS n’a pas beaucoup communiqué à l’époque. Qu’ils ne communique toujours pas sur leur incompétence depuis. Résultats les soldats campais dans les zones d’exclusions irradiés comme si de rien n’était.

www.courrierinternational.com/article/guer...

En revanche j’ai pensé très très fort au nombreux conflit d’intérêt, les liens entre ceux qui formule des reco sur avis d’expert dont la HAS se sert pour proposer des prise en charge.

Et je repense à cette phrase lâché à un congrès du CNGE « si vous saviez sur quoi repose les reco de la HAS »

« Obstination ne veut pas forcément dire que vous avez raison
Pour ma part, en matière de diabète je préfère suivre les préceptes de la Société Francophone du Diabète, mais promis quand il s'agira d'une infection à VRS ou à rotavirus j'irai voir le CNGE.... »

Je n’ai pas répondu

Je l’ai posté sur mon Facebook à l’époque. En écrivant: « Au passage: pas d’efficacité des médicaments sur les complications du diabetes de type 2
En conclusion, on préfère bouffer des pilules, que de manger mieux, et de bouger plus 😕»

J’ai froisser une collègue Endoc à l’époque qui a répondu

Ça me rappel un article de la revue exercer qui date de 2014 qui défonce à peu près tout les antibiabetique de l’époque en expliquant que le critère de jugement principal c’est HBA1C et non la morbi-mortalité. On a eu des rappel au congrès du CNGE. En 2017, article du monde sur le busness du diabète

Cela aurai pu être en mater ou en oncologie. Mais bien vu!

Sur le premier lien, c’est bien ton site, mais avec une mauvaise description. Lionel évoque un défaçage qui cible les bots Google. Ça peut être une attaque extérieur, la traduction c’est une traduction de l’indonésien. Bref revoir le code source.

Les patients peuvent bosser ailleurs mais pb de conflit, anxiété réactionnelle, voir syndrome dépressif mineur. Le patient veut partir mais pas perdre ses droits, l’employeur veut pas payer les indemnité de départ. Il reste le médecin du travail qui ne prendra pas de décision sur 1ere consult.

Patient ayant eu une conjuguopathie avec maîtresse sur le lieu du travail et femme qui appelle le taf. Projet de changement de boulot et de maîtresse. Le patient est en détresse le jour de la consultation. Il est en capacité de travailler ailleurs. Le mec n’a pas été bosser.
J’en ai à la pelle

Sans compté qu’en ville il y a quelques chose de fondamentale: c’est la confiance. Si le patient ment la confiance est rompus, si le médecin est systématiquement suspicieux la confiance n’est pas présente non plus. Parfois je dis aux patient « votre arrêt n’est pas justifié »
Exemple

Parfois les patients sont de mauvaise fois (ils décale leur rdv d’IRM…) les délais sont long et hop un mois supplémentaire. Parfois c’est la sécu elle même qui est de mauvaise foi:
Invalidité à partir d’une date prévus dans 4 mois… en attendant on fait quoi?

C’est plus compliqué que ça. La pluspart des arrêts long le sont et ce n’est pas de notre fait:
- attente rdv examen complémentaire
- attente rdv confrère
- attente rdv médecin du travail
- attente comission invalidité

Et parfois certain collègue botte en touche: arrêt justifié mais faut attendre

Nous avons aussi un problème en médecine avec les termes « médecines douces », « médecines alternatives »… pour parler de pratique qui ne repose pas sur des preuves.

Running gag : mais que fais l’ordre?

J’ai conscience qu’on arrête pas le progrès et peut être qu’il faut s’approprié l’outils avant que d’autres le fasse avec des objectifs bien différents.

Mais pour moi avant d’utiliser un tel outils c’est formation obligatoire pour comprendre ce qu’est une IA.

Et j’ajouterai que lorsque je vois certains confrère recourir à chat GPT pour un oui ou un non, je suis terrifié. Le syndrome de l’imposteur est important dans notre profession. Le risque c’est de faire plus confiance à l’IA qu’en nos capacités.

La problématique Pierre c’est que la plupart de nos confrères ont une très mauvaise idée de ce qu’est L’IA.
Et quand tu vois les articles grands publiques c’est dramatique.
Les gens pense que ce sont les même IA que dans les livres d’Asimov…
Nos internes font confiances aux hallucinations des IA.

C’est pas ce diagnostic ou la solution c’est de faire picoler le patient pour le sauver? Ce cours m’avait particulièrement marqué!

Après on s’étonne qu’on passe pour des pignoufs auprès des autres discipline !!!