Alors qu'il va entrer au Panthéon, ces mots de Robert Badinter, prononcés il y a plus de 40 ans, sont malheureusement plus que jamais d'actualité

Et après tout, son savoir est inégalé, non ?
Mais factuellement :
1) Au LOSC, il est évincé par son financier qui reprend la main lorsque celui-ci constate les dérives de la direction Lopez.
2) Avec Lotus, il endette l'écurie à hauteur de 130 millions, le forçant à la céder pour 1€ symbolique.

Et si c'est pas assez clair, il le répète plus tard, en écartant la possibilité d'un rachat total.
Le "respect des équipes en place" est visiblement une notion fluctuante dans le temps, la direction n'a pas daigné en accorder un minimum aux salariés évincés fin 2024

Une proposition de rachat ? Attention, pas à n'importe quelle condition, évidemment.
Et ouais, Lopez s'est accordé le droit de foutre en l'air un club, des salariés, un centre de formation, tous les gens en place, mais il ne faudrait pas venir toucher à ses proches quand même...

Quand on lui parle des fameux partenaires locaux (qui doivent arriver depuis... tellement longtemps que plus personne ne peut sérieusement y croire), c'est une occasion de cracher sur l'histoire du club
Permettez-moi d'apprécier différemment la notion de "connaissance du club"...