J’ai l’impression que Melenchon est souvent représenté avec un air menaçant, méchant, et Tondelier avec un air niais, tandis que Bardella et Macron ont beaucoup plus souvent une posture sérieuse et responsable.

Ce qui montre au passage que cette « droite » qui peut passer mentalement, à 180 degrés, du reaganisme au trumpisme, du gaullisme au zemmourisme, n’a jamais eu de colonne vertébrale idéologique, mais plutôt toujours l’idéologie de son époque, de ses intérêts et surtout de ses ressentiments.

La logique, c’est le fric qui corrompt tout lorsqu’il est présent en trop grande quantité. La politique comme le sport, comme tout autre domaine.