C'est une opinion, certes entendable, mais pas forcément l'opinion de tous les adhérents de l'association dont le DG s'exprime publiquement sur ce réseau.

Merci M.Presneau de m'avoir informé de la tenue de cette journée d'étude qui, malheureusement et une fois de plus, va parler des Tsiganes sans les Tsiganes. C'est vraiment une habitude indécrottable et humiliante de nos universitaires. J'en parle sur ma page Facebook www.facebook.com/profile.php?...

Je ne sais pas vraiment qui ils sont. Nous nous suivons mutuellement sur Twitter, demandez-leur s'ils souhaitent me contacter. Merci.

Commencez donc par le faire, je n'aurais pas besoin de vous suivre eu-égard au fait que je vous précède depuis longtemps. Vous êtes sacrément casse-pieds. Dites-nous un peu ce que vous avez produit sur cette question, vous qui faites la leçon.

Merci de votre condescendance, mais aucune fixette de ma part. Pour expliquer, écrire, parler d'un évènement tel qu'un génocide, il est préférable d'étudier longuement le sujet. Ce que j'ai fait en ce qui concerne les gens de ma famille : les Tsiganes. Eux, soyez assuré que ça les intéresse.

Que peut-on définir comme réalité tsigane ?
Il est diffusé encore à ce jour des écrits longuement argumentés pour réfuter le génocide, refuser la qualification juridique de génocide, et parler de massacres, de répressions, sans plus.
Ce ne serait pas du négationnisme ?

Comme je réponds à France Inter, si on ne sait pas, c'est qu'on n'est pas intéressé par la question, ou qu'on refuse de s'y intéresser.
Les moyens mis à notre disposition, les études, les écrits, sur tous ces sujets sont abondants.
Par ailleurs le nombre de victimes hors les camps est considérable.

Il existe en fait beaucoup d'ouvrages, de documents, de qualité parfois moindre, et d'autres fois excellentes sur le génocide tsigane.
Mais, est-ce pour justifier l'absence d'intérêt, la continuation du rejet, la paresse, on répète à l'envi qu'il n'y a rien, que l'histoire reste à écrire ?

Personne chez nous, absolument personne, ne vous a demandé, ne vous demandera, d'oublier les prisonniers politiques, les handicapés, les homosexuels, les Allemands, etc.
Pourtant, cette mise en garde nous est systématiquement renvoyée, dès qu'il est fait allusion au génocide tsigane...