Pause de mon live-tweeting.

E. Quaile: 

«Je rappelle qu'un leader syndical a été arrêté lors d'une piquet de grève légal & les accusations ont pris plusieurs mois avant d'être abandonnées. (...) Il faut considérer comment ce sera appliqué. L'enjeu n'est pas la manifestation mais ce contre quoi les manifestants se mobilisent»

Emily Quaile, parent de Broadview, qui a organisé des contre-manifestations. 

«Je comprends l'intention derrière le projet, mais je suis sidérée que la Ville ait avancé celui-ci si loin sans consulter la communauté impliquée dans l'évènement le plus souvent cité dans les justifications»

Sam Genest [Contre] : «À l'époque, la police n'a pas assuré notre sécurité, c'est nous qui l'avons assuré. L'Hôpital Montfort n'a été sauvé que grâce aux grandes manifestations , des protestations qui ne serait pas autorisées si ce règlement venait à passer».

Sam Genest met en avant l'histoire de la francophonie locale. "Comme franco-ontarien, l'idée que les écoles ne sont pas politique est absurde. Le droit d'avoir une éducation en français n'existerait pas sans des femmes et citoyens courageux qui ont manifestés contre le règlement 17 autour d'écoles"

Sandra Ballantyne, dont la famille réside à Ottawa depuis plusieurs générations et membre d'une communauté de foi. «Je suis opposée à l'idée même de ce règlement. [...] Cette mesure puiserai dans les ressources de la ville et encouragerait une application inégale de la loi».

Katy de Sousa, parent d'élève de Broadview, qui a participé aux trois contre-manif pour bloquer des manifestants anti-trans, s'oppose au projet. "J'ai peur que plutôt que protéger notre communauté, ce règlement empêcherait des citoyens réguliers comme moi de défendre nos voisins quand nécessaire."

The municipal councillors already debated the issue of divesting their services from the plateform, but the motion didn't pass. www.ledroit.com/actualites/a...