Michael Wadleigh : Woodstock, Wolfen et après… conducteur de bus (dixit internet).

C’est une adaptation involontaire. Ça part en fait de la même histoire vraie à laquelle le livre comme le film sont assez fidèles.

Un geste presque verhoevenien de sa part.

Surtout, il est quand même étonnant de conserver aujourd'hui encore un dress code genré, pour un festival où la plupart des films en compétition font un sort à cette idée de genre !

Et debout en plus !

C’est la question que je me pose depuis longtemps…

Techniquement, Jarmusch l’a fait, mais c’est rocambolesque. Caméra d’or (pour son deuxième long !) et Palme d’or (du court métrage).

Les Diaboliques : film indémodable et prestation d’une modernité extraordinaire. Compartiment tueurs : quelques scènes seulement mais où autodérision et sincérité se mêlent jusqu’au vertige.

A film that takes place where you’re from.
A l’inverse, ce n’était pas drôle tous les jours d’y vivre mais ça a donné un chef-d’œuvre.

Absolument !

C’est pas dans Les Pistolets en plastique, plutôt, cette fin-là ?

Dans le dossier "Making of" qu'on avait supervisé avec Fred Mercier. Interview-carrière, en sorte !

Hazanavicius a été honnête avec son film dans l’interview qu’il avait donnée à Positif en le qualifiant de « navet ».

Film du mois des Cahiers, Une de Positif, ouverture de Télérama, une de Libération… Il me semble qu’une telle note synthétise assez bien le paysage critique, au contraire !

Le fantastique et assez rare (seul Criterion l'a édité en blu-ray) True Stories de David Byrne fait partie du lot. Une sorte de faux-documentaire sur une frange bizarre des États-Unis, qui doit avoir une autre saveur lorsqu'on le regarde aujourd'hui...

Ah oui, là, c'est scandale. Surtout qu'ils méritaient DEUX nominations : une pour Challengers, une pour Queer.