Je parle tout le temps de cinéma
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Influencé par Resident Evil et Alain Resnais (on l’aime déjà), Simogo signe un puzzle game fascinant qui prend la forme d’un labyrinthe aux multiples entrées. Un modèle du genre en même temps qu’une passionnante réflexion sur l’art et l’acte de création.
Influencé par Resident Evil et Alain Resnais (on l’aime déjà), Simogo signe un puzzle game fascinant qui prend la forme d’un labyrinthe aux multiples entrées. Un modèle du genre en même temps qu’une passionnante réflexion sur l’art et l’acte de création.
Un bouleversant visual novel sur le deuil, les relations familiales et la culpabilité - l’accident de voiture qu’on revit en boucle. L’écriture est d’une justesse rare (cette scène immense entre les deux parents endeuillés) et fait du jeu une catharsis éblouissante
Un bouleversant visual novel sur le deuil, les relations familiales et la culpabilité - l’accident de voiture qu’on revit en boucle. L’écriture est d’une justesse rare (cette scène immense entre les deux parents endeuillés) et fait du jeu une catharsis éblouissante
Citant Lynch, Hitchcock, Kurosawa, Kubrick ou encore Roeg, Immortality est une lettre d’amour au cinema mais aussi un jeu de Sam Barlow avant tout. Un titre qui hante longtemps après son générique, sur les forces contraires qui se trouvent dans les replis des images.
Citant Lynch, Hitchcock, Kurosawa, Kubrick ou encore Roeg, Immortality est une lettre d’amour au cinema mais aussi un jeu de Sam Barlow avant tout. Un titre qui hante longtemps après son générique, sur les forces contraires qui se trouvent dans les replis des images.
Véritable comédie de remariage, It Takes Two est l’un, sinon le meilleur jeu co-op tant il fait de son sujet - deux parents obligés de collaborer - le moteur de son gameplay. En résulte une aventure à la Pixar fourmillant d’idées sans cesse réinventées.
Véritable comédie de remariage, It Takes Two est l’un, sinon le meilleur jeu co-op tant il fait de son sujet - deux parents obligés de collaborer - le moteur de son gameplay. En résulte une aventure à la Pixar fourmillant d’idées sans cesse réinventées.
Un monument à tout point de vue. La plus grande histoire de vengeance jamais écrite, jamais endurée. Pas seulement parce qu’elle nous entraîne dans une spirale de haine insoutenable mais aussi parce qu’elle le fait avec les spécificités du jeu vidéo.
Un monument à tout point de vue. La plus grande histoire de vengeance jamais écrite, jamais endurée. Pas seulement parce qu’elle nous entraîne dans une spirale de haine insoutenable mais aussi parce qu’elle le fait avec les spécificités du jeu vidéo.
Dans une atmosphère de fin d’un monde broyé par le capitalisme, Disco Elysium met en scène deux âmes perdues engluées dans une enquête aux allures de MacGuffin. Rarement titre ne nous aura plongé aussi désespérément dans la psyché d’un être à la recherche de lui-même.
Dans une atmosphère de fin d’un monde broyé par le capitalisme, Disco Elysium met en scène deux âmes perdues engluées dans une enquête aux allures de MacGuffin. Rarement titre ne nous aura plongé aussi désespérément dans la psyché d’un être à la recherche de lui-même.
Une enquête passionnante, qui prend place sur un bateau abandonné au début du XIXe siècle, dans lequel on joue un assureur chargé de comprendre ce qu’il s’est passé. Lucas Pope invente un nouveau genre de jeu avec une maîtrise et une esthétique folles.
Une enquête passionnante, qui prend place sur un bateau abandonné au début du XIXe siècle, dans lequel on joue un assureur chargé de comprendre ce qu’il s’est passé. Lucas Pope invente un nouveau genre de jeu avec une maîtrise et une esthétique folles.
Sublime titre sur les histoires qu’on se raconte, et plus encore sur la manière dont on les raconte. Prenant la forme d’un roman graphique, d’une tragédie, d’un poème ou encore d’une conversation, le jeu, inventif, éblouit et émeut aux larmes.
Sublime titre sur les histoires qu’on se raconte, et plus encore sur la manière dont on les raconte. Prenant la forme d’un roman graphique, d’une tragédie, d’un poème ou encore d’une conversation, le jeu, inventif, éblouit et émeut aux larmes.
Peut-être le choix le plus difficile car choisir Inside, c’est dire non à Firewatch, The Witness ou That Dragon, Cancer. Mais choisir Inside, c’est rappeler à quel point Playdead maîtrise le cinematic platformer. Un titre d’une fluidité et d’une profondeur époustouflantes.
Peut-être le choix le plus difficile car choisir Inside, c’est dire non à Firewatch, The Witness ou That Dragon, Cancer. Mais choisir Inside, c’est rappeler à quel point Playdead maîtrise le cinematic platformer. Un titre d’une fluidité et d’une profondeur époustouflantes.
Cinq avant avant leur chef-d’œuvre Wide Ocean Big Jacket, Turnfollow sort ce bijou de naturalisme, dans lequel on dirige une mère alors que sa fille organise une petite fête, adoptant le rythme de la vie avec une douceur et une beauté dans les relations humaines.
Cinq avant avant leur chef-d’œuvre Wide Ocean Big Jacket, Turnfollow sort ce bijou de naturalisme, dans lequel on dirige une mère alors que sa fille organise une petite fête, adoptant le rythme de la vie avec une douceur et une beauté dans les relations humaines.