Les deux hommes ont assigné la société Hikari, à l’origine des images, pour travail dissimulé, montage frauduleux et abus de confiance. En face, la société de production contre-attaque en dénonciation calomnieuse et tentative d’escroquerie au jugement.

Ensemble, ils accusent l’émission d’investigation, diffusée sur France 2 le 7 décembre 2023 et intitulée la Chute de l’ogre, d’avoir réalisé un montage illicite et trompeur dans lequel Gérard Depardieu apparaît en train de tenir des propos de nature sexuelle sur d’une très jeune fille.

En raison de son état de santé, l’acteur de 76 ans est absent, tout comme l’écrivain et réalisateur Yann Moix, lui-même convalescent.

Gérard Depardieu, qui demande ce jeudi 2 octobre au tribunal correctionnel de Paris la condamnation de l’émission Complément d’enquête, n’est pas venu au procès.

L’audience s’ouvre par une série d’incidents, d’algarades et de railleries. On s’invective sur des conclusions envoyées au dernier moment. On se brocarde entre confrères, l’un invitant l’autre à relire ses cours de première année de droit. On se croirait au théâtre, mais sans le protagoniste.

Derrière la polémique, que reflète l'affaire du #tract de l'ampleur du #trafic de #drogues qui sévit dans cette moyenne ville ? La suite est à lire dans le journal @liberation.fr du jour, avec les photos du camarade Patrick Gherdoussi www.instagram.com/pgherdoussi/

Et pour cause, les habitants croisés dans les rues des #Escanaux, en cette froide journée de septembre, disent en réalité n’avoir que vaguement entendu parler de «cette histoire à la télé». Seule une poignée d’entre eux a trouvé ledit tract fourré dans la boîte aux lettres.

Au creux de l’été, l’initiative du réseau baptisé "La Gitanie" fait grand bruit et les équipes de télévision débarquent aux pieds des barres d’immeubles de cette ancienne cité ouvrière gardoise. Mais les journalistes repartent quasi bredouilles.

Ils ont repéré la lettre dans les pages du dernier rapport en date de l’Office anti-stupéfiants (Ofast) sur l’état de la menace dans l’Hexagone. Appelant à un «climat serein et solidaire», la missive s’ouvre par une amende honorable, pour les «nuisances sonores» et «éventuelles dégradations».

L’enquête de @laurentleger.bsky.social sur le périple du cargo Trudy, bourré de cocaïne, illustre parfaitement l’essor du trafic via les mers. On fait le point ensemble pour @liberation.fr 🎥🚢📦❄️🌊

Selon le dernier rapport sur l’état de la menace du narcotrafic, pas moins de 37 tonnes de cocaïne ont été saisies au cours du premier semestre.

En 20 ans ces organisations sont parvenues à nouer des relations stratégiques avec les producteurs de coca en Colombie, au Pérou, au Brésil ou Equateur, pour assurer la distribution à travers le Vieux Continent, acheminant la poudre dans des quantités astronomiques.

D’abord positionnés sur le marché de l’héroïne, du cannabis, du trafic d’armes ou encore de la prostitution, ces cartels ont petit à petit changé de cap.

L’affaire Sky ECC a aussi contribué à mettre en lumière leur place prédominante. Parmi les près de 2 milliards de conversations interceptées, le serbo-croate et l’albanais figurent derrière l’anglais en 2e position des langues les plus utilisées.