Beaucoup restent sur le carreau. Elias, propriétaire d’un bar à Bethléem, a fait 4 demandes de permis. Aucune n’a abouti : “On ne nous dit jamais pourquoi... ”. Photo: l'app "al-Munaseq" ("coordinateur"), où les Palestiniens doivent déposer leur demande de permis

Contactées, les autorités israéliennes indiquent avoir émis “plus de 11 000 permis” dans un “geste de bonne volonté à l'égard de la population chrétienne” à l'approche des fêtes de #Noël et en fonction des “critères de sécurité nécessaires”

Après l'église, c'est shopping, balade, et visite à des proches. Les #permis se sont accordés que pour des périodes de 5 jours, avec obligation de rentrer tous les soirs. Travail, école… Beaucoup n’en profiteront qu'un seul jour, le dimanche, unique congé hebdomadaire.

“Pour #Gaza. Pour le Liban. Pour la Syrie…” Il égrène ses prières au rythme des bougies qu’il allume à côté du tombeau. “Je voulais profiter de #Jérusalem pour prier”, confie ce jeune chrétien qui n’y a pas mis les pieds depuis plus d’un an.