De façon générale, nous essayons de travailler le plus possible en réseau avec d'autres organisations, afin de pouvoir aiguiller les journalistes victimes d'atteintes vers le meilleur interlocuteur pour obtenir de l'assistance (par exemple, RSF, un partenaire incontournable en France sur la question

Ce travail est encore en cours. Il doit aboutir à la publication d'un rapport en 2025. Pour y arriver, il nous manque 20 000 euros, afin de rémunérer des journalistes pour vérifier les atteintes. Agissez, aidez-nous à publier ce premier rapport : soutenir.ofalp.org (10/10)

Nous avons aussi mis en place un système de recensement et de vérification, basé sur la redondance. Vous voulez connaître nos catégories et notre fonctionnement ? Suivez
@ofalp.bsky.social, nous vous ferons bientôt découvrir notre méthode ! (9/10)

Depuis le printemps 2023, je travaille dc avec tout un tas de gens formidables à la création d'une méthode & d'une nomenclature pour structurer le travail de l'#Ofalp. Un long travail de fourmi, qui a permis d'établir 16 catégories d'atteintes, réparties en 4 grands types. (8/10)

En novembre 2023, nous étions une cinquantaine à l'AG fondatrice de notre observatoire. Et en décembre, l'Observatoire français des atteintes à la liberté de la presse
@ofalp.bsky.social, association loi 1901, est né ! J'ai rejoins le Conseil d'administration et le bureau (7/10)

Pendant des mois, nous avons eu des dizaines de réunions, pour écrire un texte fondateur, construire une organisation, établir des règles de fonctionnement démocratiques garantissant l'indépendance et le caractère non partisan de notre future association. (6/10)

Le 11 avril 2023, j'ai reçu un mail de
@LucileBerland
envoyé à plusieurs centaines de journalistes, appelant à se réunir en visio pour évoquer la création d'un observatoire national des atteintes à la liberté d'informer. Je n'ai pas hésité, comme 22 autres personnes. (5/10)

En Bretagne, un projet d'observatoire local des atteintes à la liberté de la presse avait déjà été tenté. A Tours, aux Assises du journalisme 2023, plusieurs journalistes et syndicalistes évoquaient ce même besoin. Dont Lucile Berland
ex-secrétaire d'INPD (4/10)

Mais nous ne nous sentions pas armés pour confirmer cette intuition et poser le bon diagnostic. L'idée a alors émergé de recenser ces atteintes, pour mieux les comprendre et alerter le public. Comme toutes les bonnes idées, elle est née dans plusieurs têtes au même moment (3/10)

Il y a quelques années, j'ai rejoins Informer n'est pas un délit pour tenter de sortir de l'impuissance. Avec les journalistes membres d'Informer n'est pas un délit, nous partagions la même inquiétude, et le sentiment que la situation empirait. (2/10)