➡️ Une semaine d’échanges intellectuels, de mentorat et d’exploration culturelle, à destination des doctorants avancés et jeunes chercheurs en sciences sociales.
➡️ autour du thème: « Le moment post-libéral : changement de paradigme ou simple tendance passagère ? »

leviers d’innovation agricole mondiale ? Technologies de rupture, soft power, imaginaires futuristes et stratégie géopolitique: plongez dans l’agro-futurisme du Golfe, entre serres climatisées et ambitions mondiales.

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Article de référence : « هناك ما يبعث على القلق في سورية » – Salam Kawakibi, Al-Araby Al-Jadeed.
# Extrait final :
« ثورتنا هي ليست ضدّ نظام حكم فحسب، ثورتنا هي ضدّ اغتصاب العقول والاستبداد الفكري بكلّ أشكاله. »

« Celui qui libère décide ? Non. Un pays n’est pas un jeu où l’on gagne des points sur le champ de bataille. »
Aujourd’hui encore, des voix existent,
Mais elles sont marginalisées, oubliées ou bâillonnées.

➡️ Voici quelques extraits de l'article (à méditer) :

« Notre révolution n’est pas seulement contre un régime, mais contre le viol des esprits et le despotisme intellectuel sous toutes ses formes. »
« Seuls les Syriens doivent décider de l’avenir de leur pays. »

Aujourd’hui, alors que d’autres pouvoirs s’installent,
Alors qu’on répète : "Celui qui libère décide",
Alors que l’exclusion revient sous d’autres noms,
Il est urgent de revenir à ces mots initiaux.
Ils sont clairs. Ils sont puissants.
Ils sont un antidote contre les nouveaux despotismes.

Mais cette parole a été étouffée. Par le régime. Par les islamistes. Par le silence gêné des États arabes. Par l’indifférence – ou le mépris – des capitales occidentales.

Il rejetait l’appel d’Ayman al-Zawahiri à instaurer un État islamique.
Seuls les Syriens doivent décider de leur avenir. La révolution, c'est
➡️ Un soulèvement pour la justice,
➡️ Pour une démocratie pluraliste,
➡️ Pour une citoyenneté partagée,
➡️ Pour une Syrie de tous ses enfants, sans exception.