Et vous ? 🧡
Quelle destination vous a le plus surpris en tant que végétarien ?
J’adorerais enrichir cette liste avec vos expériences !
#VoyageVégé #VegetarianTravel #EcoVoyage #SlowTravel #VoyagerAutrement 7/7

⚠️ Et les destinations où j’ai galéré ?
🇭🇷 Croatie → végétarien = souvent poisson
🇵🇹 Porto → très peu d’options
🇧🇪 Bruxelles → alternatives véges limitées
Il faut vraiment insister pour ne pas se retrouver à sec. 6/7

🍝 Mention spéciale : l’Italie
Pasta, pizza, risotti, antipasti… la cuisine italienne est naturellement végé-friendly, surtout dans les trattorias familiales. Un vrai bonheur ! #ItalyTravel 5/7

🥉 New York : le paradis des options
Végé, végan, sans gluten… tout est possible, partout, tout le temps. Le plus dur ? Choisir parmi toutes les options 😅 #NYCTravel 4/7

🥈 Angleterre : la facilité absolue
L’offre végé y est plus développée qu’en France. Même les pubs traditionnels proposent une alternative, et souvent très bonne. Zéro stress pour manger végétarien. #EnglandTrip 3/7

🥇 Écosse : la révélation végé
Même perdue au fin fond des Highlands, j’ai toujours trouvé une vraie option végétarienne. Coffee shops, pubs, restos… tout le monde joue le jeu. Mon top 1, de loin ! #ScotlandTravel 2/7

🌍 Le basketball peut devenir un sport plus respectueux de l’environnement. Mais cela demande des efforts collectifs : des ligues, des équipes, des joueurs… et de nous, les fans.
Et vous, que pensez-vous de l’impact écologique du sport professionnel ?
10/10

Que peut-on faire ?
En tant que fans, voici comment réduire l’impact :
- Privilégier les transports en commun pour aller aux matchs.
- Acheter moins mais mieux (produits écoresponsables).
- Soutenir les équipes qui prennent des initiatives écologiques.
9/10

Et les joueurs ?
Certains joueurs, comme Chris Paul ou LeBron James, soutiennent des initiatives écoresponsables.
🚲 Promotion des transports alternatifs.
🌱 Investissements dans des projets durables.
8/10

Les efforts en cours :
Certains acteurs du basket agissent pour limiter cet impact :
Les Sacramento Kings ont une salle certifiée LEED Platine (la plus haute norme d’écoconstruction).
Initiatives pour compenser les émissions carbone des déplacements.
Programmes de recyclage dans les stades.
7/10

L’empreinte des fans :
Les spectateurs aussi contribuent à l’impact.
🚗 Trajets en voiture, vols pour suivre les matchs, consommation de snacks et boissons dans des emballages jetables.
Un match NBA peut réunir jusqu’à 20 000 spectateurs, imaginez l’impact cumulé.
6/10

Les produits dérivés :
Maillots, chaussures, goodies… Ces produits sont souvent fabriqués dans des pays où l’énergie provient de sources non-renouvelables. Sans compter le transport pour les acheminer.
👟 La fabrication d’une seule paire de baskets peut émettre jusqu’à 14 kg de CO2.
5/10

Les infrastructures :
Les salles de basketball sont énergivores.
💡 Éclairage intense, climatisation pour le confort des spectateurs, écrans géants… Tout cela consomme une quantité énorme d’électricité.
Et souvent, ces stades ne servent que quelques fois par semaine.
4/10

Les émissions carbone :
Les trajets aériens de la NBA génèrent plusieurs centaines de milliers de tonnes de CO2 par an.
📊 Une étude estime qu’une équipe produit environ 1 000 tonnes de CO2 par saison rien qu’en déplacements. (Scheduling Bipartite Tournaments to Minimize Total Travel Distance)
3/10

Les déplacements :
Les équipes NBA jouent 82 matchs par saison, souvent dans des villes éloignées. Cela représente des milliers de kilomètres en avion, en bus, ou en voiture.
✈️ Par exemple, une seule équipe peut parcourir jusqu’à 90 000 km en une saison ! #Transport
2/10

😍😍

On ne peut pas prétendre protéger le vivant en légalisant sa destruction.
Les abeilles, les sols, l’eau… ne peuvent pas attendre des “adaptations” politiques.

Le massif des Corbières, joyau de biodiversité, ravagé par les flammes.
Chaleur, sécheresse, monoculture : cocktail explosif.
Et pourtant, le sujet reste secondaire dans le débat politique.
Les forêts brûlent. Et nous regardons ailleurs ?🔥

Les baleines ne "voient" pas nos embarcations comme un danger. Et souvent, ce sont elles qui paient le prix de notre présence en mer.
Préserver les océans, c’est aussi repenser notre place dedans.