FAUT DÉSERTER. FAUT DES BOULES DE PAILLE QUI PASSENT AU RALENTI LÀ.

La 2nd: le boycott est un choix individuel. On peut demander aux autres d'être solidaires, pas les forcer. Chacun-e a son histoire unique et son rapport personnel au festival. Surtout dans un métier précaire & solitaire où une sortie comme celle-ci peut être importante, financièrement & humainement.

Deux petites choses concernant ce boycott :
La première, c'est qu'il n'est pas limité aux artistes. De plus en plus d'éditeurs (surtout les indés) y prennent part.
Et en tant que public, si vous aimez la BD et voulez la soutenir, vous pouvez aussi. N'allez pas à Angoulême cette année.

Non.

La 2nd: le boycott est un choix individuel. On peut demander aux autres d'être solidaires, pas les forcer. Chacun-e a son histoire unique et son rapport personnel au festival. Surtout dans un métier précaire & solitaire où une sortie comme celle-ci peut être importante, financièrement & humainement.

Deux petites choses concernant ce boycott :
La première, c'est qu'il n'est pas limité aux artistes. De plus en plus d'éditeurs (surtout les indés) y prennent part.
Et en tant que public, si vous aimez la BD et voulez la soutenir, vous pouvez aussi. N'allez pas à Angoulême cette année.

En fait, le simple fait de venir à Angoulême encourage le public à y aller. Le but d'un boycott est de dire qu'on ne sera nulle part, ni sur un parking, ni chez un libraire. Sinon c'est juste un festival normal où on change simplement de table et où le public continue à aller.

Saint-Malo met la misère à Angoulême en termes de qualité. Amiens a des expos de dingue. LyonBD a connu un creux, mais ils ont eu des années incroyables.
Angoulême est un supermarché à l'entrée payante, le plus interessant est ce qui se passe en off autour.