le tremblement de terre,
le rapt qui arrache à soi,
il y a la chute qui est un envol,
l’obsession d’un visage,
il y a l’asphyxie, le ciel dévoré
par le sel des larmes,
la prière qui ne sait pas ce qu’elle demande,
la vie soudain qui n’est que vide, et crie."
le tremblement de terre,
le rapt qui arrache à soi,
il y a la chute qui est un envol,
l’obsession d’un visage,
il y a l’asphyxie, le ciel dévoré
par le sel des larmes,
la prière qui ne sait pas ce qu’elle demande,
la vie soudain qui n’est que vide, et crie."
le couple égalitaire s’épaulant tout au long du chemin,
les radieux sourires devant les verres bus ensemble
dans les espèces de mangeoire qu’on dévoue
sur les trottoirs aux fêtes parisiennes ;
(...) "
le couple égalitaire s’épaulant tout au long du chemin,
les radieux sourires devant les verres bus ensemble
dans les espèces de mangeoire qu’on dévoue
sur les trottoirs aux fêtes parisiennes ;
(...) "