Après, ça reflète quand même que le jeu semble parfois jouer avec la limite de l'acceptable ds sa difficulté de combat. Mais j'ai du mal à bien juger, vu que j'étais passé à côté du pnj qui améliore l'arme. Du coup, jusque genre les 3/4 du jeu, j'étais avec le dégât de base. Forcément c'était dur.

Le jeu est génial et super beau ! Juste ce combat précis, c'était n'importe quoi, j'ai pas compris leur choix. J'ai dû aller sur Reddit pour voir comment cheese la phase finale.

Après, les deux séries restent très fétichistes de toutes façons

Mon post n'était pas aussi 1er degré que ça, y a évidemment plein de trucs qui séparent les deux mangas (après, la maturité de Dandadan, je la vois pas perso et dans Gantz, + on avance dans le récit, + il semble aller vers une rédemption de ces travers incels je trouve).

Mon post reste en partie une blague, mais y a des similitudes marrantes je trouve

L'aspect horreur-absurde du bestiaire (inspiré de trucs aliens et japonais), le fait qu'ils se battent dans une "dimension parallèle mais pareille à la réalité" (souvent Tokyo), les métaphores sexuelles constantes (même si pas dans le même ton).

Même si vu la patte hyper marquée du dessinateur de base (martin simmonds), ça casse un peu toute l'ambiance graphique/mystique quand il n'est pas là mais bon. Je vais m'acheter House of the Lake, j'avais oublié que je voulais le lire !

Toujours en cours (j'ai lu les 4 premières compilations perso), c'est vachement bien et unique comme expérience de BD, avec un aspect très K.Dick dans l'idée de confusion avec la réalité. Et fun fact, quelques issues ont été dessiné par Elsa Charretier !

Au fait tu as lu Département of truth du meme scénariste ? Ça vaut vrmt le coup

Dur à dire, vu que ça conclut l'histoire mais que c'est sorti avant la série. Perso, j'aimais bien le fait de connaître le destin du héro, et j'ai quand même terminé mon visionnage de la série en revoyant ensuite le film

Update, j'ai fini la saison, comme d'hab y a des vrais moments de justesse, mais qui ont finit par perdre presque toute consistance au milieu de l'accumulation non stop de ces scènes qui se veulent profondes et touchantes :/ c'est constamment la même recette d'écriture et de structure en boucle

Ah ok merci, p-t que je regarderai le reste de la saison du coup, mais même si y a un discours conscient sur la répétitivité/la boucle infernale, je trouve que l'écriture des dialogues "profonds" a fini par devenir une auto-caricature, j'ai bcp de mal :/

Ce qui pour moi est incarné ds l'histoire par l'abandon des sandwiches de restau populaire (avec ses scènes de la saison 1 très Treme-isante) au profit d'une cuisine gastro élitiste et son esthétique ronflante.

J'avais déjà eu ça sur March comes in like a lion, où c'était une lecture hyper feel good (malgré ses aspects sombres), qui finit par être entachée par une relation de ce type au bout d'une dizaine de tomes. Ce genre de récit, c'est comme de l'eau pure gâchée par un arrière goût de sirop.

C'est d'autant + dommage qu'au moment où Sakura déclare son amour à Yukito, ce dernier va lui tenir un discours qui recadre ses sentiments d'enfant vers un amour filial, c'était joli et bien désamorcé, mais à côté les autrices gardent la relation gamine-prof de l'amie de Sakura... le gros malaise.