donner au monde à voir qui l'on est, ce que l'on aime et surtout imposer cela comme horizon indépassable.

Tu le dis parfaitement. C'est comme, si je puis me permettre, ces jugements prononcés à l'emporte pièce "ce film c'est de la m....", "ce n'est pas de la musique", etc... qui dans les faits ne sont pas des jugements objectifs mais simplement des opinions subjectives n'ayant pour seul fonction que de

💯

Pareil, je te comprends parfaitement

finalement un chouette moment car beaucoup des collègues présent•es sont devenu•es des ami•es qui ont depuis une approche plus mesurées sur ces questions (ou peut-être que quand je suis là 🙃🙃).

important, pas pour faire le malin, mais parce que du coup j'étais estimable dans cette noble assemblée. Et là, la personne que j'étais leur donnée à voir une autre approche de la culture qui pouvait mener à cette même tablée que celle qu'iels partageaient. Ce fut

scientifique. Jusqu'au jour où n'en pouvant plus j'ai ouvert la bouche (pour ne plus jamais la refermer 🙃) et là, sans le vouloir j'ai provoqué un malaise inattendu: il se trouve que j'ai réussi une thèse un peu hors norme - 10 articles dont 6 premiers auteurs, c'est atypique- et ce détail est

bonus le pins diversité et celui d'inclusivité (je ne pouvais plus cacher ma spondylarthrite), je vivais comme un calvaire les injonctions faites aux absents (les non scientifiques, a fortiori d'un autre milieu) de ne pas partager la beauté de ZE culture, générale et également

Je me doutais effectivement que tu ne la laissais pas de côté, à raison. Anecdote: quand j'ai commencé mon DEA, puis ma thèse, ZE moment pénible pour moi était le moment social du pot, et surtout du repas de midi. Étant le seul venant d'un milieu plus que populaire (pauvre disons le) avec en

diversité socio-culturelle de ces pratiquant•ess est tout à fait étonnante, et ceci depuis ces débuts fin 19ieme/ début 20ieme

"On n'avance pas beaucoup"
Litote is not dead 🤣

"Une culture intéressante et riche". C'est ça. Autant par l'activité elle-même que par ces pratiquant•ess. D'ailleurs la préparation physique des sportifs de cette ère doit beaucoup à l'explosion de la popularité du culturisme au début des 70's. Et la

Tu écris parfaitement cela. C'est un monde entier qui nous accompagne, qu'importe là où nous allons

vraiment revenu des 60s, qui m'a formé à ne pas comprendre ces barrières

et arts martiaux vs les sports co. Puis de la BD vs le graaaannd art (des profs d'arts aux critiques en passant par la personne lambda) quand à la grande musique vs celles populaires... bref, j'ai eu de quoi lutter et c'est bien mon éducation, mon père comme ma mère, d'anciens hyppies jamais

ami•es qui pratique le bodybuilding, que j'ai appris à aimer, comme le Kung-Fu et j'adore le rock, le teash, le métal, Puccini et jmw Turner et je vis ça très bien. Mais il est vrai que l'injonction à choisir commence jeune: je me souviens parfaitement des querelles de chapelle entre arts martiaux

"Ouverture d'esprit" qui devrait être la norme dans le pays imaginaire de dedans ma tête.
Et que cette ouverture d'esprit s'accompagne de tolérance et s'oppose à cette volonté normative que je lis trop souvent à propos de la culture. Et pas que de la culture d'ailleurs.
J'ai plein de super amis

Comme dit par @mxpaad.bsky.social , cette histoire se déroule au premier âge pendant la guerre entre les elfes et Melkor et raconte la chute de l'une des cités cachées des elfes.

Jamais, mais la remarque a pu emerger pour des collègues de la même équipe où la commission a déceler un potentiel. Mais cela n'a jamais été fait sur le ton du reproche

Je trouve aussi 😃