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- Sorry, Baby de Eva Victor
- Kouté Vwa de Maxime Jean-Baptiste
- Frantz Fanon de Abdenour Zahzah
+ Le Rire et le couteau de Pedro Pinho.
"La Chute du Ciel", contre-pied du documentaire ethnographique-explicatif, plongée dans les tourments des Yanomami contre le "peuple de la marchandise" : nous. Mille moments de cinéma qui marquent durablement. Encore des séances à Toulouse, Saint-Etienne...
"La Chute du Ciel", contre-pied du documentaire ethnographique-explicatif, plongée dans les tourments des Yanomami contre le "peuple de la marchandise" : nous. Mille moments de cinéma qui marquent durablement. Encore des séances à Toulouse, Saint-Etienne...
Mémoire du Chili. 1973, émergence d'un mouvement révolutionnaire, la contre-révolution ne se fait pas attendre. Dictature, mécaniques perverses. Une fois encore, l'horreur est humaine, et c'est encore le cinéma qui l'affronte. Immense témoignage de Carmen Castillo.
Mémoire du Chili. 1973, émergence d'un mouvement révolutionnaire, la contre-révolution ne se fait pas attendre. Dictature, mécaniques perverses. Une fois encore, l'horreur est humaine, et c'est encore le cinéma qui l'affronte. Immense témoignage de Carmen Castillo.
Que savais-je de la colonisation de l'Algérie avant ce film, à Lussas ? Rien. Rien sur cette violence qui avait préparé puis accompagné la vie des pieds noirs. Je l'ignorais d'autant mieux que le collège, le lycée, prétendaient m'avoir tout dit. L'Histoire manquait.
Que savais-je de la colonisation de l'Algérie avant ce film, à Lussas ? Rien. Rien sur cette violence qui avait préparé puis accompagné la vie des pieds noirs. Je l'ignorais d'autant mieux que le collège, le lycée, prétendaient m'avoir tout dit. L'Histoire manquait.
Film de résistance, réflexion sur le spectacle et la violence, "Beyrouth, ma ville" porte un regard d'une limpidité cristalline sur ce qui se produit, l'innommable, l'atrocité, contrecarrés par une vitalité s'immisçant partout dans les décombres.
Film de résistance, réflexion sur le spectacle et la violence, "Beyrouth, ma ville" porte un regard d'une limpidité cristalline sur ce qui se produit, l'innommable, l'atrocité, contrecarrés par une vitalité s'immisçant partout dans les décombres.
Cette fois c'est "Toucher terre", mon dernier court-métrage.
Une nouvelle date de projection vient de tomber. Ce sera le 22 mars à Ancenis, cinéma Eden3, 18h30, avec une dizaine de courts locaux 🙂
basileremaury.com/toucher-terre/
Cette fois c'est "Toucher terre", mon dernier court-métrage.
Une nouvelle date de projection vient de tomber. Ce sera le 22 mars à Ancenis, cinéma Eden3, 18h30, avec une dizaine de courts locaux 🙂
basileremaury.com/toucher-terre/
C'est un film qui laisse des traces profondes, un éloge funèbre, une plongée dans un sous-terrain de la Russie, qui n'aurait jamais dû nous parvenir, dont la vitalité vibre pendant qu'elle s'éteint.
C'est un film qui laisse des traces profondes, un éloge funèbre, une plongée dans un sous-terrain de la Russie, qui n'aurait jamais dû nous parvenir, dont la vitalité vibre pendant qu'elle s'éteint.
Vous n'êtes pas nazi.
Vous avez quitté Twitter.
Vous avez perdu votre TL.
J'ai une bonne nouvelle.
Grâce à cette liste vous allez pouvoir suivre des gens qui parlent de cinéma et qui sont de gauche, racisé·e·s, LGBTQIA+, des femmes : bref de quoi changer un peu de point de vue.
Vous n'êtes pas nazi.
Vous avez quitté Twitter.
Vous avez perdu votre TL.
J'ai une bonne nouvelle.
Grâce à cette liste vous allez pouvoir suivre des gens qui parlent de cinéma et qui sont de gauche, racisé·e·s, LGBTQIA+, des femmes : bref de quoi changer un peu de point de vue.