85. Queer
Daniel Craig casse son personnage de Bond pour incarner un alcoolo gay et pathétiquement obsédé par un beau jeune homme (Drew Starkey).
Le film oscille entre ennui profond et scènes d'une beauté poétique fulgurante, baigné dans une BO canon.
85. Queer
Daniel Craig casse son personnage de Bond pour incarner un alcoolo gay et pathétiquement obsédé par un beau jeune homme (Drew Starkey).
Le film oscille entre ennui profond et scènes d'une beauté poétique fulgurante, baigné dans une BO canon.
117. Bugonia
Aussi dérangeant que brillant, absurde que captivant, porté par une Emma Stone magnétique et un Jesse Plemons exceptionnel, le dernier film de Yorgos Lanthimos est une réussite totale !
117. Bugonia
Aussi dérangeant que brillant, absurde que captivant, porté par une Emma Stone magnétique et un Jesse Plemons exceptionnel, le dernier film de Yorgos Lanthimos est une réussite totale !
116. Dites-lui que je l'aime
En "adaptant" le livre de Clémentine Autain et en enquêtent sur sa propre vie, Romane Bohringer réussit un film précieux, intime, douloureux et réparateur à la fois : il sonde les mystères qui lient une mère à sa fille, et c'est bouleversant.
116. Dites-lui que je l'aime
En "adaptant" le livre de Clémentine Autain et en enquêtent sur sa propre vie, Romane Bohringer réussit un film précieux, intime, douloureux et réparateur à la fois : il sonde les mystères qui lient une mère à sa fille, et c'est bouleversant.
84. Le prix du danger
Avant Running Man, il y a eu Le prix du danger.
Moins spectaculaire (les effets spéciaux ont évolué depuis) mais plus cynique, le film montre plus l'envers du décor de ce show sensationnaliste.
84. Le prix du danger
Avant Running Man, il y a eu Le prix du danger.
Moins spectaculaire (les effets spéciaux ont évolué depuis) mais plus cynique, le film montre plus l'envers du décor de ce show sensationnaliste.
83. Princesse Mononoké
Je ne m'attendais pas à un conte aussi violent et sanglant pour illustrer la déforestation par l'Homme cupide.
Entre le sang qui gicle et la poésie de certaines scènes, le contraste détonne.
83. Princesse Mononoké
Je ne m'attendais pas à un conte aussi violent et sanglant pour illustrer la déforestation par l'Homme cupide.
Entre le sang qui gicle et la poésie de certaines scènes, le contraste détonne.
114. Les enfants vont bien
Sobre, doux, sans éclat de voix (ou presque), ce film permet à Camille Cottin d'être dans la retenue face à 2 gamins déboussolés.
Pour moi, c'est trop poli, pas assez en colère, comme si ça manquait de vie.
Bon film qui m'a un peu déçue.
114. Les enfants vont bien
Sobre, doux, sans éclat de voix (ou presque), ce film permet à Camille Cottin d'être dans la retenue face à 2 gamins déboussolés.
Pour moi, c'est trop poli, pas assez en colère, comme si ça manquait de vie.
Bon film qui m'a un peu déçue.
82. Total recall
Ce qui est rigolo avec les vieux films de SF, c'est que le futur y a l'air dépassé et les effets spéciaux en carton pâte le rendent encore moins crédible 🤣
82. Total recall
Ce qui est rigolo avec les vieux films de SF, c'est que le futur y a l'air dépassé et les effets spéciaux en carton pâte le rendent encore moins crédible 🤣
80. Yojimbo
Affrontements, corruption, violence : on dirait un western sauf qu'il y a des sabres et des samouraïs. Dont notre héros qui, malgré ses airs intéressés, a un cœur tendre.
Chouette film très bien mis en scène et en musique.
80. Yojimbo
Affrontements, corruption, violence : on dirait un western sauf qu'il y a des sabres et des samouraïs. Dont notre héros qui, malgré ses airs intéressés, a un cœur tendre.
Chouette film très bien mis en scène et en musique.
113. Des preuves d'amour
Parce que c'est un couple de filles, elles doivent prouver au monde, à la justice, à leurs parents qu'elles méritent d'être parents.
Ça donne un film profond qui interroge ce que ça veut dire être (une bonne) mère, et il n'oublie pas d'etre drôle.
113. Des preuves d'amour
Parce que c'est un couple de filles, elles doivent prouver au monde, à la justice, à leurs parents qu'elles méritent d'être parents.
Ça donne un film profond qui interroge ce que ça veut dire être (une bonne) mère, et il n'oublie pas d'etre drôle.
112. Eleanor the great
Vive d'esprit, espiègle, seule et triste, notre héroïne de 94 ans raconte une vérité qui n'est pas la sienne pour perpétuer la mémoire et permettre à son entourage d'en faire autant.
C'est beau, sensible, doux. Et ça fait pleurer.
112. Eleanor the great
Vive d'esprit, espiègle, seule et triste, notre héroïne de 94 ans raconte une vérité qui n'est pas la sienne pour perpétuer la mémoire et permettre à son entourage d'en faire autant.
C'est beau, sensible, doux. Et ça fait pleurer.
111. Vie privée
J. Foster et D. Auteuil, voilà un couple auquel je ne m'attendais pas ! Le duo fonctionne à merveille, et l'actrice prise dans un tourbillon de suspicions a l'air de se régaler.
Très agréablement surprise par le film qui ne dévoile pas tous ses mystères
111. Vie privée
J. Foster et D. Auteuil, voilà un couple auquel je ne m'attendais pas ! Le duo fonctionne à merveille, et l'actrice prise dans un tourbillon de suspicions a l'air de se régaler.
Très agréablement surprise par le film qui ne dévoile pas tous ses mystères
110. La femme la plus riche du monde
I. Huppert est impériale dans le rôle d'une femme trop fortunée, esseulée qui retrouve la gaieté lorsqu'un rustre charmant outrancier (magnifique L. Lafitte) la bouscule.
Beau film (un peu long) entre farce et drame familial.
110. La femme la plus riche du monde
I. Huppert est impériale dans le rôle d'une femme trop fortunée, esseulée qui retrouve la gaieté lorsqu'un rustre charmant outrancier (magnifique L. Lafitte) la bouscule.
Beau film (un peu long) entre farce et drame familial.
79. Étoiles
Récompensé à Cannes en 1959, ce film est-allemand montre la prise de conscience d'un soldat allemand face à l'acharnement contre les juifs.
La dernière image accompagnée par un chant éloquent est cruellement et douloureusement belle.
79. Étoiles
Récompensé à Cannes en 1959, ce film est-allemand montre la prise de conscience d'un soldat allemand face à l'acharnement contre les juifs.
La dernière image accompagnée par un chant éloquent est cruellement et douloureusement belle.
109. Running man
Grosse production US ni extraordinaire ni nulle, dynamique et explosive, anarchiste sur les bords et très en colère.
Elle exploite plutôt bien les dérives du capitalisme et de la manipulation (limite flippante) des images.
Divertissant mais pas ouf.
109. Running man
Grosse production US ni extraordinaire ni nulle, dynamique et explosive, anarchiste sur les bords et très en colère.
Elle exploite plutôt bien les dérives du capitalisme et de la manipulation (limite flippante) des images.
Divertissant mais pas ouf.
108. On vous croit
Huis-clos dans un tribunal : un père voudrait revoir ses enfants, eux le rejettent, leur mère les défend.
Du format carré aux gros plans, les protagonistes sont enfermés dans une confrontation douloureuse et étouffante.
Remarquable Myriem Akheddiou.
108. On vous croit
Huis-clos dans un tribunal : un père voudrait revoir ses enfants, eux le rejettent, leur mère les défend.
Du format carré aux gros plans, les protagonistes sont enfermés dans une confrontation douloureuse et étouffante.
Remarquable Myriem Akheddiou.
107. Wicked for good
Il fallait bien finir l'histoire, mais il ne se passe pas grand chose dans cette 2ème partie qui s'avère plus sombre que la 1ère.
La production reste magnifique et les interprètes talentueuses. Malgré cela, c'est long et on s'ennuie un peu.
107. Wicked for good
Il fallait bien finir l'histoire, mais il ne se passe pas grand chose dans cette 2ème partie qui s'avère plus sombre que la 1ère.
La production reste magnifique et les interprètes talentueuses. Malgré cela, c'est long et on s'ennuie un peu.
106. Dossier 137
Brillamment construit et interprété (Léa Drucker est épatante), c'est encore un film politique que nous propose Dominik Moll : sobre, fort, à la recherche de la vérité aussi difficile soit-elle à affronter.
106. Dossier 137
Brillamment construit et interprété (Léa Drucker est épatante), c'est encore un film politique que nous propose Dominik Moll : sobre, fort, à la recherche de la vérité aussi difficile soit-elle à affronter.
105. L'étranger
Très belle idée de confier le rôle de Mersault à Benjamin Voisin (il est magnétique et indolent à la fois) et de filmer en N&B (le soleil est éclatant et étouffant).
Dommage que le film soit un peu trop long à mon goût.
105. L'étranger
Très belle idée de confier le rôle de Mersault à Benjamin Voisin (il est magnétique et indolent à la fois) et de filmer en N&B (le soleil est éclatant et étouffant).
Dommage que le film soit un peu trop long à mon goût.
104. L'inconnu de la grande arche
Une vision artistique peut-elle résister à la politique? Un architecte passionné et intègre peut-il réussir malgré tout?
Voilà les enjeux de ce film brillant et intelligent, très bien interprété par l'ensemble des acteurs.
Bel ouvrage.
104. L'inconnu de la grande arche
Une vision artistique peut-elle résister à la politique? Un architecte passionné et intègre peut-il réussir malgré tout?
Voilà les enjeux de ce film brillant et intelligent, très bien interprété par l'ensemble des acteurs.
Bel ouvrage.
103. Predator : Badlands
C'est la 1ère fois que je vois un Predator, et j'ai trouvé ça plutôt plaisant : pas prise de tête, efficace, drôle, divertissant.
J'dis pas que je verrai les autres, mais celui-ci m'a plu.
103. Predator : Badlands
C'est la 1ère fois que je vois un Predator, et j'ai trouvé ça plutôt plaisant : pas prise de tête, efficace, drôle, divertissant.
J'dis pas que je verrai les autres, mais celui-ci m'a plu.
102. Deux procureurs
Lorsqu'un jeune procureur intègre et naïf veut établir la justice soviétique, il se heurte à un système totalitaire qu'il n'imagine même pas.
Mise en scène d’une précision remarquable pour un film austère, absurde et implacable.
102. Deux procureurs
Lorsqu'un jeune procureur intègre et naïf veut établir la justice soviétique, il se heurte à un système totalitaire qu'il n'imagine même pas.
Mise en scène d’une précision remarquable pour un film austère, absurde et implacable.
78. Comment j'ai tué mon père
Arriveront-ils à reconstruire leur relation abîmée par une trop longue absence et l'abandon ?
Charles Berling et Michel Bouquet s'affrontent de manière très civilisée dans ce film élégant.
78. Comment j'ai tué mon père
Arriveront-ils à reconstruire leur relation abîmée par une trop longue absence et l'abandon ?
Charles Berling et Michel Bouquet s'affrontent de manière très civilisée dans ce film élégant.