L'efficacité du journalisme d'extrême droite.

la scène masculine bien dégueulasse quand on connait "le choix" des femmes à entrer dans les ordres. Au XVIIIIe : Diiiideroooot.... et puis là récemment avec les nonnes violentées.

Hommage national aux cramés à la haine.
- Tu veux te promener dans une forêt?
- Non, laisse-moi surfer sur Amazon, c'est trop laid, c'est vital.

non, je déteste faire le grand écart et j'ai l'anus fragile.

super mauvais titre.

c'est parti pour les pizzicati.

ok, à lire : Dominique Memmi "La vengeance des femmes" (PUF)

la citation dans son biotope : www.hubertreeves.info/chroniques/2...

Les gens ayant un peu de raison ne se font pas sonder par mediamétrie.

OQTF semble être un synonyme de délinquance.

la drogue.

John, lui, commettait ses violences dans le cadre domestique ce qui était plus smart.

ah bon.

Donc "Here she is punching fascist Brigitte Bardot in the face in Les Pétroleuses (1971)". Non, Cardinale exécute ce lui demande Christian-Jaque pour complaire au male gaze de l'époque ( qui est semble-t-il très solide encore aujourd'hui).

Oui, aussi solide qu'un Manuel Valls, aussi vertueux qu'un Matzneff. Le problème, c'est cette illustration fortement misogyne du film de Christian-Jaque: véritable appât pour ceux qui aiment voir des femmes se battre avec les nichons à l'air. Pour la convergence des luttes, ce n'est pas gagné.

Oui, Brigitte Bardot n'est pas Delphine Seyrig. Mais les films dans lesquels elle a joué sont bien l’œuvre de réalisateurs masculins et effectivement elle n'a pas lutté contre ce système patriarcal.