Deux trompettes ? Oui, mais surtout deux frères !
Cayetano et Francisco De YEBRA, tous deux trompettes au 6e Groupe d'Artillerie à Pied d'Afrique.
Deux trompettes ? Oui, mais surtout deux frères !
Cayetano et Francisco De YEBRA, tous deux trompettes au 6e Groupe d'Artillerie à Pied d'Afrique.
Le centre logistique de la résistance en Saône-et-Loire et première ville du département à être libéré.
Le centre logistique de la résistance en Saône-et-Loire et première ville du département à être libéré.
Le 15 octobre 1915, une attaque allemande est prononcée sur l'Hartmannswillerkopf.
Venez (re)découvrir les événements de ces deux jours de combat !
(Mettre le site en 🇫🇷 : cliquer sur le drapeau 🇬🇧 puis 🇫🇷, ce ne sera pas le même texte)
bunny-archive.com/user/photo_p...
Le 15 octobre 1915, une attaque allemande est prononcée sur l'Hartmannswillerkopf.
Venez (re)découvrir les événements de ces deux jours de combat !
(Mettre le site en 🇫🇷 : cliquer sur le drapeau 🇬🇧 puis 🇫🇷, ce ne sera pas le même texte)
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Se trouvant à la crête, un coup de feu tiré à moins de 20 mètres par un allemand est entendu.
Se trouvant à la crête, un coup de feu tiré à moins de 20 mètres par un allemand est entendu.
Un grand oncle, Jean Claude AUPOIL de la classe 1913 au 56e RI, blessé au bras et fait prisonnier à Gosselming le 20 août 1914. Ici en 1919.
Un grand oncle, Jean Claude AUPOIL de la classe 1913 au 56e RI, blessé au bras et fait prisonnier à Gosselming le 20 août 1914. Ici en 1919.
Les funérailles de Robert BOURDON, médecin commandant au service de santé du Maroc, en août 1940.
Né en 1894 à Mâcon.
Tout comme son père ; il servit au 334e RI d'avril à décembre 1915 comme médecin auxiliaire.
Les funérailles de Robert BOURDON, médecin commandant au service de santé du Maroc, en août 1940.
Né en 1894 à Mâcon.
Tout comme son père ; il servit au 334e RI d'avril à décembre 1915 comme médecin auxiliaire.
Il repasse dans les réserves de la 7e sCOA après-guerre puis est définitivement libéré du service militaire en octobre 1934.
Il décède en 1960 à Cormoranche sur Saône.
Il repasse dans les réserves de la 7e sCOA après-guerre puis est définitivement libéré du service militaire en octobre 1934.
Il décède en 1960 à Cormoranche sur Saône.
Le régiment est relevé le 5 juin : 12 officiers (4 tués) et 810 hommes (160 tués) de pertes approximatives depuis le 20 mai.
Le régiment est relevé le 5 juin : 12 officiers (4 tués) et 810 hommes (160 tués) de pertes approximatives depuis le 20 mai.
Le 5 octobre 1915, Benoît HYVERNAT passe dans l'infanterie et rejoint les rangs du 44e RI (pour l'instruction à l'arme ?).
Pratiquement 3 mois plus tard, le 30 décembre 1915, il passe au 402e RI.
Le 5 octobre 1915, Benoît HYVERNAT passe dans l'infanterie et rejoint les rangs du 44e RI (pour l'instruction à l'arme ?).
Pratiquement 3 mois plus tard, le 30 décembre 1915, il passe au 402e RI.
Il passe caporal le 24 juillet 1907 puis est encore promu le 8 février 1908 comme sergent.
Libéré le 25 septembre 1908, il se retire à Cormoranche sur Saône (01).
Il passe caporal le 24 juillet 1907 puis est encore promu le 8 février 1908 comme sergent.
Libéré le 25 septembre 1908, il se retire à Cormoranche sur Saône (01).
Rapide retour sur sa carrière militaire : 👇
Rapide retour sur sa carrière militaire : 👇
Il s'agit finalement d'un bouton du West Riding (Duke of Wellington's Regiment).
Il s'agit finalement d'un bouton du West Riding (Duke of Wellington's Regiment).
Futur lieutenant-colonel commandant le 334e RI.
Dirigeant, sous les balles, la retraite du régiment le 26 août 1914 à la sortie ouest de Coinches : il est grièvement blessé d'une balle dans les reins atteignant du même coup sa colonne vertébrale.
Futur lieutenant-colonel commandant le 334e RI.
Dirigeant, sous les balles, la retraite du régiment le 26 août 1914 à la sortie ouest de Coinches : il est grièvement blessé d'une balle dans les reins atteignant du même coup sa colonne vertébrale.
"Les Femmes dans la résistance mâconnaise" !!
Nombre de réseaux et de destins seront traités dans la plus grande transparence historique.
"Les Femmes dans la résistance mâconnaise" !!
Nombre de réseaux et de destins seront traités dans la plus grande transparence historique.
Fait prisonnier et (semble) blessé lors des combats de St-Léonard/Saulcy le 29 août 1914.
Rapatrié sur Lyon le 27 décembre 1918.
Fait prisonnier et (semble) blessé lors des combats de St-Léonard/Saulcy le 29 août 1914.
Rapatrié sur Lyon le 27 décembre 1918.
Quand je pourrai je ferai un regroupement des annuaires de Saône-et-Loire en comparant les lieutenants restés au corps entre deux dates extrêmes, ça fera un bon tri déjà...
Quand je pourrai je ferai un regroupement des annuaires de Saône-et-Loire en comparant les lieutenants restés au corps entre deux dates extrêmes, ça fera un bon tri déjà...
Ca m'a bien l'air d'être Marius François MAGAGNOSC...
Identifié ce matin si c'est bien lui, j'irai faire un tour dans les autres photos que je possède si je ne le retrouve pas du coup.
N'hésite pas à te servir de la photo si jamais !
Ca m'a bien l'air d'être Marius François MAGAGNOSC...
Identifié ce matin si c'est bien lui, j'irai faire un tour dans les autres photos que je possède si je ne le retrouve pas du coup.
N'hésite pas à te servir de la photo si jamais !
Quelqu'un a déjà lu l'ouvrage "Tête Carrée" d'Henri REHBERGER ?
Je possède une photo où il pourrait apparaître et j'ai peut-être une idée sur la personne : 21 mai 1934, harmonie de Schiltigheim à Mâcon.
Président de l'harmonie à cette période et pose avec les officiels.
Quelqu'un a déjà lu l'ouvrage "Tête Carrée" d'Henri REHBERGER ?
Je possède une photo où il pourrait apparaître et j'ai peut-être une idée sur la personne : 21 mai 1934, harmonie de Schiltigheim à Mâcon.
Président de l'harmonie à cette période et pose avec les officiels.
En arrière plan cela me semble être le Monsard.
Durant une manœuvre en 1906.
En arrière plan cela me semble être le Monsard.
Durant une manœuvre en 1906.
Impossible d'identifier à qui les clichés appartenaient mais il semblait appartenir au 32e ou 37e Régiment d'Aviation.
Il y'a aussi des échanges passés avec un légionnaire affecté à une batterie d'artillerie.
Impossible d'identifier à qui les clichés appartenaient mais il semblait appartenir au 32e ou 37e Régiment d'Aviation.
Il y'a aussi des échanges passés avec un légionnaire affecté à une batterie d'artillerie.
Quoique ivre, le capitaine VIARD a encore la lucidité de ne pas replier ses hommes sous les rafales de 77...
Quoique ivre, le capitaine VIARD a encore la lucidité de ne pas replier ses hommes sous les rafales de 77...