« L’article est une succession d’accusations expédiées en quelques phrases, jamais sourcées ni contextualisées, et surtout ne faisant l’objet d’aucun contradictoire (…). Voilà l’antidote que Caroline Fourest, autoproclamée reine de la nuance, prétend administrer au "journalisme de surface" ».

Donc, en bref, attention aux chiffres relayés. En l'occurence, la définition du harcèlement scolaire par le ministère de l'Education nationale est assez éloignée des standards internationaux. Où l'on recense jamais moins de 20% d'élèves harcelés. 4/4

Pour le ministère, un enfant qui subit « souvent ou très souvent » moqueries ou insultes ; mis à l’écart dans la classe, régulièrement tapé et volé par d’autres camarades et qui subit "parfois" une agression sexuelle … n’est pas considéré comme une victime de harcèlement. Oui oui. 3/4

D'après plusieurs expert·es, la méthode du ministère pour mesurer le harcèlement est douteuse. Pour qu’un écolier soit considéré comme harcelé, il faut qu’il subisse « souvent ou très souvent » pas moins de huit atteintes différentes 2/4 www.20minutes.fr/societe/4170...

Parce que quand une famille porte plainte, ce n'est pas pour une chamaillerie. C'est généralement que c'est bien enkysté... 3/3
Sources:
www.justice.gouv.fr/documentatio...
et www.education.gouv.fr/dossier-de-p...

... Cela veut dire que des milliers de victimes déclarées ont dû soit changer d'école, soit faire face à leur harceleur. Alors que le changement d'école de l'agresseur est une mesure simple de protection, qui devrait être déclenchée dès que la situation est grave, l'institution traîne des pieds. 2/3

Et là, qui plus est, il ne s’agit pas d’élus mais de simples spectateurs et spectatrices. Nous serions le seul Etat au monde, mis à part la Corée du Nord, ou à l’inverse, l’Afghanistan, l’Arabie saoudite ou l’Iran, à imposer de telles normes contre-productives… et anti laïques.

Faut-il rappeler que nombre de parlementaires venaient au sein même de l’hémicycle en habit religieux, parce que non pas représentants de l’Etat mais du peuple et élus en connaissance de cause ? Faut-il rappeler le chanoine Kir, maire et député de Dijon jusqu’en 1968 ?

Entre 2013 et 2022, la part des élèves accompagné·es par un·e AESH est passée de 49% à 67% dans le premier degré et de 26% à 46% dans le second degré

pas tous mais oui certains, la vidéo le montre bien

En roue libre ici ça veut dire qu'il n'y a eu personne pour les stopper, pour prévenir ces violences, pour même empêcher que des gens commencent à penser ainsi. Un commissaire, un brigadier devraient rappeler sans cesse le respect dû aux personnes...

A #Sainte-Soline, « les actes qui ont causé tant de blessures et fait frôler la mort à nombre d’entre nous ne sont pas l’œuvre d’individus particulièrement violents, mais découlent de l’ordre donné par une institution » www.mediapart.fr/journal/fran...