RDV Dimanche 19 octobre à 12h, pour le chapitre 2 de l'histoire des prisons en France...
#prisons #France #histoire

Le 5 septembre,
préparez votre n° d'écrou.
On va en taule 👮‍♂️
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Salut à toutes et tous !
Après un long moment d'absence, revoici l'atelier avec une nouvelle production sur Youtube !
Date de diffusion : ce vendredi !
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A l'époque moderne, le réseau s'étend et permet d'alimenter les hôpitaux en périphérie de Paris. Au XVIIIe siècle, il rejoint l'aqueduc de Belleville, qui alimente le réseau de fontaines de la capitale.
Parce que bon, l'eau de la Seine, c'est pas ce qu'il y a de mieux, même à l'époque ! 3/4

Les regards sont des accès aux canalisations d'approvisionnement d'eau. Et la colline de Belleville regorge de sources. Au Moyen Âge, des ordres religieux comme les clunisiens de Saint-Martin s'y intéressent pour exploiter les terres fertiles environnantes leur appartenant. 2/4

Si vous vous baladez rue des Cascades dans le 20e arrondissement de Paris, vous tomberez sur ces étranges bâtisses. Ce sont des regards. Mais qu'est-ce donc ? 🧵 ⬇️ 1/4

Enfin, le personnel est, depuis 1850, majoritairement féminin. Selon le docteur Léon Bizard, en 1925, 82 sœurs de l'ordre de Saint-Joseph et des recluses assurent la surveillance. Elles sont épaulées par une trentaine de gardiens, médecins, chirurgiens, infirmiers et des infirmières. 7/9

Durant leur séjour, les femmes doivent porter des vêtements identifiant leur catégorie. Il s'agit de ne pas mêler les deux populations (détenues communes et prostituées internées administatives), bien que les séparations entre bâtiments ne soient pas hermétiques. 6/9

Les détenues dorment dans des dortoirs (3 à plusieurs dizaines de lits). Le système de la pistole (des "chambres" payantes) permet d'améliorer les conditions des plus aisées. La "ménagerie" accueille jusqu'en 1896 les mineures, et on trouve aussi une nurserie 5/9

Dans leur quotidien, les détenues doivent travailler. Les ateliers assurent de la grosse couture, de la matelasserie et la boulangerie de toutes les prisons de la Seine. Elles assurent aussi le service général. En moyenne, elles gagnent 0,50F/jour, soit le 1/4 du salaire d'un ouvrière libre. 4/9

L'établissement, qui reste longtemps dans les locaux de l'ancien couvent lazariste, devient à partir des années 1830 une référence dans la médecine et le traitement des femmes syphilitique, grâce à la construction de nouveaux bâtiments dédiés à cet effet. 3/9

De 1794 à 1931, la Maison d'arrêt et de correction Saint-Lazare accueille deux catégories de détenues : l'une de l'ordre pénal (des prévenues et des condamnées de droit commun), l'autre de l'ordre administratif, qui concernait des prostituées, dont beaucoup de malades de la syphilis. 2/9

En ce moment, je m'intéresse aux prisons parisiennes. Dans le quartier de la Gare du Nord,on trouve un agréable jardin et une chapelle en brique rouge. Il s'agit des vestiges de la prison pour femmes Saint-Lazare, située sur l'ancien couvent dirigé par Saint Vincent de Paul au XVIIe siècle 🧵 1/9

Salut à toutes et tous,
Notez dans vos agendas :
La 2e partie de mon documentaire sur les monuments aux morts sera publiée le VENDREDI 20 DÉCEMBRE À 17H.
Je vous laisse patienter avec la miniature :)