Un autre événement s'organise en parallèle.

Under The Clouds Again.

et l'intégralité des conférences seront diffusées en direct sur Youtube et autres.
Plus d'info sur www.icay.saf-astronomie.fr,

Il s'agit d'un congrès d'astronomie à destination des étudiants en master et en thèse, avec de nombreuses thématiques telles que la cosmologie, la planétologie, etc.

Le congrès se tiendra du 15 au 18 juillet 2025 à la Sorbonne (plus précisément sur le campus Pierre et Maris Curie, Jussieu),

entre les étoiles, là où naissent de nouveaux systèmes solaires. La mission, d'un coût de 488 millions de dollars, durera 25 mois et réalisera quatre cartographies complètes du ciel durant cette période.

invisibles à l'œil et d'observer le rayonnement collectif de centaines de millions de galaxies, notamment les plus anciennes formées après le Big Bang.

Plus près de nous, SPHEREx va également rechercher de l'eau et d'autres composants essentiels à la vie dans les nuages glacés

d'exploitation) et qui vous permet d'explorer tout le contenu de Wikipédia en déambulant dans ses couloirs quasi infinis :

mayeclair.itch.io/museum-of-al...

vous pouvez utiliser le logiciel ALS. Il est développé en open source sur Astro-Fr et vous pouvez le télécharger ici : next.als-app.org/fr/

Vous en connaissez d'autres ? N'hésitez pas à en parler...

et elle devient de plus en plus détaillée au fur et à mesure que les clichés s'ajoutent les uns aux autres.

Le Seestar de ZWO est l'un des plus récents télescopes automatiques sur le marché : www.seestar.com

Mais si vous avez déjà un télescope et une caméra

Il y a sur le marché de plus en plus de ces « télescopes automatiques » sans oculaire dans lequel regarder.

Au lieu de ça on connecte le télescope à une application, on choisit où le pointer à l'aide d'une carte du ciel et le télescope commence à photographier.

L'image s'affiche sur l'application

on va parler des différentes solutions qui existent. Les télescopes automatiques, mais aussi les logiciels à utiliser sur un ordinateur, dont un qui est développé sur Astro-Fr !

résultat sur un écran et ce résultat s'améliore au fur et à mesure que les clichés sont pris.

Il réalise un certain nombre de traitements cosmétiques sans aucune intervention et rend des image saisissantes, même dans de mauvaises conditions de lumière, notamment en ville.

La prochaine fois

mélange la simplicité de l'observation visuel et la sophistication de l'astrophoto.

Dans le visuel assisté on utilise une caméra et un ordinateur, comme en photo. Celui-ci prend des clichés, les additionne, mais au lieu d'en faire une photo brute qui doit être traitée, le logiciel affiche le

objets très peu lumineux et de les voir en couleur, chose (quasiment) impossible pour l'œil humain. Mais ça reste coûteux et technique. Les expositions sont longues et demandent un traitement une fois prises ce qui en fait une activité chronophage.

Depuis quelques années il existe une 3e voie qui

Quand on regarde dans un télescope, on est limité par notre vision nocturne, et à part la Lune et les planètes, le reste des objets restent généralement très diffus.

Cependant il y a quelque chose de magique à scruter l'Univers avec ses propres yeux.

La photo d'un autre côté permet de capturer des

C'est effectivement d'après les quipus des Incas que cette structure a été nommée.

www.nationalgeographic.fr/histoire/les...

Quipu et les 4 autres superstructures trouvées contiennent 45 % des amas galactiques locaux et 30 % des galaxies de leur région.

Ces structures géantes influencent nos mesures du fond diffus cosmologique et même de la constante de Hubble.