Elle a aussi regretté la réticence de certaines entreprises à faire apparaître sur leurs produits qu’il a été fait appel au travail pénitentiaire dans le processus de fabrication.

Lou-Isadora Anaya (La Lucarne d'Ariane) a insisté sur la nécessité pour les personnes détenues d’acquérir des capacités professionnelles valorisantes en vue de leur réinsertion.

Décrivant un système carcéral « à bout de souffle », où le travail est « une bouée de sauvetage » pour de nombreux détenus, il a aussi mis en évidence le pouvoir parfois exorbitant des directeurs d’établissements qui utilise les affectations au travail pour contrôler les détenus.

Julien Fischmeister (@oipsectionfr.bsky.social) a mis en garde contre les insuffisances du CEP (pas de hausse des rémunérations, souvent à 45% du Smic, absence d’expression collective pour les salariés détenus…).

Chloé Cahuzac (@justice.gouv.fr) a expliqué le travail de l’ATIGIP pour cherchant de nouvelles entreprises offrant du travail en prison et souligné les progrès accomplis par le contrat d’emploi pénitentiaire ouvrant de nouveaux droits sociaux aux détenus (cotisations retraites, chômage, maladie).

Nayla Glaise, présidente d'@eurocadres.bsky.social, a rappelé les « abus » dans le recours au #forfait-jours, exception française qui permet de contourner le seuil de déclenchement des #heures supplémentaires mais se traduit par une surcharge de #travail problématique pour les cols blancs

Pour Eric Chevée, vice-président de la CPME, un passage aux 36 heures serait un pas nécessaire pour améliorer la #compétitivité des petites et moyennes entreprises, financer le modèle de protection sociale et réduire « l’intensification du travail » à l’oeuvre depuis cette réforme.

Pour Philippe Askenazy, chercheur à la @pse.bsky.social, les choses bougent surtout dans les #entreprises avec la signature d’accords sur le temps du travail, ou l’organisation des #congés. « La question des #35heures est finalement secondaire », a-t-il souligné.

Anne Marchand, co-directrice du groupement d’intérêt scientifique sur les cancers d’origine professionnelle en Seine-St-Denis (Giscop 93) et Jean-Luc Rué, membre @cfdt.fr de la commission spécialisée relative aux pathologies professionnelles du Conseil d'orientation des conditions de travail.

Comment les partenaires sociaux définissent-ils les conditions de reconnaissance des maladies dues au travail ? Trois acteurs nous ont livré quelques clés pour comprendre "pourquoi ça coince" : Henri Bastos, directeur scientifique Santé Travail à @anses-fr.bsky.social...

Une formation animée par le docteur Nidal Nabhan Abou, psychiatre au Centre hospitalier Guillaume-Régnier de Rennes et experte agréée par la @courdecassation.fr

Au programme : comment (mieux) parler de #psychiatrie dans les #médias ? Comment s'organise la prise en charge sur le territoire ?

🤩 Et merci @michaelzemmour.cpesr.fr : « Ça fait 10 ans que je suis les événements de l’Ajis sur les réseaux sociaux, y participer aujourd’hui est un rêve »

Un grand merci à l'@apecfr.bsky.social pour son accueil !

Auparavant, dans une table-ronde, animée par @flerais.bsky.social, Antoine Math, économiste à l’@iresfr.bsky.social, @od2ole.bsky.social (@rexecode.fr) et @michaelzemmour.cpesr.fr (Lyon 2) ont dressé un panorama des finances du système de #retraite.

@yvanricordeau.bsky.social (@cfdt.fr), @denis.gravouil.cgt.fr (@cgt.fr), @fsouillot.bsky.social (@force-ouvriere.bsky.social), Francois Hommeril (@cfecgc.org), @chabaniercftc.bsky.social (@lacftc.bsky.social), Amir Reza-Tofighi (CPME nationale) et Michel Picon (U2P) ont débattu devant nos membres.