Parce qu'on est un secteur peu voire pas syndiqué et mal intégré au reste du secteur culturel. Parce qu'en temps de crise la culture au sens large est trop souvent perçue comme accessoire.
Parce qu'on est un secteur peu voire pas syndiqué et mal intégré au reste du secteur culturel. Parce qu'en temps de crise la culture au sens large est trop souvent perçue comme accessoire.