Cela dit 85 % des Français ont confiance dans leurs armées. Autrement dit, l’apparence et le ressentiment sont loin de la réalité, malgré un décor Potemkinien délabré.

Et pendant que l’Europe proclamait qu’elle n’avait aucun ennemi, les Armées ont oscillé entre le soleil des OPEX et l’humidité des OPINT. D’où le turnover dans l’AT et l’affadissement du rêve vert ou bleu.

Visites de bases, déjeuner avec des cadres, conférences auprès des réseaux comme l’IHEDN… Quant à l’Education nationale, elle a raboté l’histoire comme moyen d’adhérer à la communauté et fait de la géographie une science sociale.

Doucement camarade. L’esprit de défense est une chose, en lien avec les peurs de l’institution de voir un écart se créer entre l’Armée et la Nation. Il a été bradé par ses deux supports, les Armées se sont vue amputés des appelés comme des fonds permettant la communication :

Trump might be the magician 😇

Tout dépend ce que l’on cherche à vérifier. Si ce sont de données pures, le QCM peut suffire et le temps limité réduit le recours à l’IA (souvenons-nous de l’apparition des téléphones portables). Si l’on demande une réflexion, l’illusion offerte par l’IA peut conduire à des contresens.

Le problème est quand les travaux surveillés sont fait sur ordinateur avec les ressources d’Eduoram de l’établissement…

Si on arrêtait d’enfoncer les portes ouvertes !

Alors là, je n’y crois pas du tout. Les Russes trouvent les raisons et les moyens de déstabiliser le monde pour effacer leur échec en Ukraine. Et quand nos médias s’y mettent !

Ça arbitre beaucoup, d’où l’effet de ba et vient. Pas vraiment étonnant pour une monnaie virtuelle.

Yves Trottignon si je me souviens bien…

Réponse type de Google, sauf que vous n’avez la liste de pages…

Ce n’est pas le pire. J’ai croisé un spécialiste qui m’a dit d’être dur avec l’IA. Cela dit, le prompt est là pour lui indiquer sa limite gauche et sa limite droite.

Ce que je disais à propos de Google des origines, outre sa variété de réponse (j’allais au bout des 20 pages et j’avais ce que je voulais), on pouvait accéder à l’info. L’IA peut faire de même (essayez avec taxi Paris). L’erreur est qu’elle invente ce qu’elle ne sait pas, contrairement à Google.

L’IA n’est pas autre chose que le Google des origines, sans les algorithmes, avec une forte capacité de synthèse que l’on doit encadrer par des prompts précis. En aucun cas, ce n’est une panacée universelle !

Le problème tient au fait que la décentralisation n’a pas avancé et qu’aujourd’hui les régions, qui ont fait enfler une fonction publique territoriale, se retrouve dans le même situation que l’Etat qu’elles doivent sauver. L’anarchie nous guette !