Sinon, je souhaite aussi mes vœux à tous les jouisseurs, hédonistes, libres penseurs, aristos libertins, bref, à tous ceux qui comme moi, aime les plaisirs sous toutes leurs formes.

Je te vois alors, belle fleur épanouie qui délivre son parfum
Pleine de vie quand quand s'empare de toi la petite mort.

friandise, fond dans ma bouche
Ta musique se diffuse à travers tout mon corps
Alors, tu t’ouvre, telle une fleur tandis que le plaisir te gagne
Te sentant désirée, tu pousse des cris de jouissances extatiques
Le désir possède tout ton corps et ton âme monte aux cieux

Abandonnée aux mains de ton libertin amant
Il t'emporte en de voluptueux transports, t'étreint
Il te parcourt, te cajole, joue de toi tel une lyre
Ton gémissement et tes soupires jouant cette orgasmique mélodie
Sous ses caresses lente, tu sens vibrer ton corps
Tandis que ta

Mon désir s'insinue
là, te voyant alanguie
comment ne pas résister ?

là, entre tes cuisses
une perle de nectar
ivresse

ma langue s'insinue
te faisant tressaillir
je frémis d'ivresse.

vers ce plaisir qui nous grise
Que mon corps affamés, ne retiennent leurs gourmandises

De cet échange idéal dont le rythme qui fait rester en accord.
Sentant la vague monter de son onde bénéfique
Et de se laisser envahir par le feu du plaisir érotique.

à le pratiquer, et ce vif désir de nous plaire chaque jour. Nous avons tous deux dans nos jouissances des plaisirs qui ne sont guère prudents ni discrets, mais qu’importe ; j’aime ses offrandes, ses baisers et ses caresses en nombres en sont les plus beaux gages.

Il l’emplit d’une joie parfaite, car toujours il me surprend dans la mise en scène de nos unions ; il devine le moindre de mes désirs. Il est vrai que je montre des signes certains, et connaît mes attraits pour les charmes et la nécessité de jouir de toutes les joies, du bonheur

qui avons la pleine jouissance et l’entière liberté de les livrer à tous les transports et au feu du plaisir.

N’est-il point que j’ai raison, ma chère amie en mon raisonnement sur notre pouvoir sur les hommes ?
Car, dès le moment, que l’un d’eux se prête à nos badinages, il se plie à nos volontés. Il suffit, lorsque que nous gamahuchons un mâle vit,

Délicatement elle parcourerait fiévreusement chaque lignes de votre corps
Avec cet érotisme que tant vous dégagez qui saurait alors se faire roi.

Il nous fut conseillé un peintre, le sieur Jean-Étienne Liotard, élève de Benoît Audran et dont le mérite ne saurait demeurer longtemps inconnu ; il réalisât un portrait de nous absolument merveilleux.
Je sais que vous prisez les peintres de haute facture, dans votre illustre famille...