"De coup de gueules en coups de coeur, An Braz laisse filer sa poésie sur les rives du Styx et ailleurs..." (Cyr)
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"Les mots sinistres".
"Les mots sinistres".
Revanchard que le PSG n'ait pas accepté de le vendre plus tôt (cf. entretien avec Macron).
Revanchard que c'est une fois qu'il part que le PSG remporte la Champions League (y'a peut-être corrélation 😏🫢) ... et plus le Real.
Nous voudrions tous nous aider, les êtres humains sont ainsi.
Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas le malheur.
Nous ne voulons ni haïr ni humilier personne.
Nous voudrions tous nous aider, les êtres humains sont ainsi.
Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas le malheur.
Nous ne voulons ni haïr ni humilier personne.
Coluche, 1976 :
"Les gardiens de la paix, au lieu de la garder, ils feraient mieux de nous la foutre !"
Coluche, 1976 :
"Les gardiens de la paix, au lieu de la garder, ils feraient mieux de nous la foutre !"
Masculin ou féminin ?
Furetière dans son dictionnaire (XVIIe s.) :
"AMOUR (s. m. & f.)" ... "l'amour divin" ... "l'amour paternelle, l'amour conjugale" ... "les amours brutaux" ... "folles amours"
👉 Son genre sera à votre guise, selon comment vous avez envie d'aimer.
Masculin ou féminin ?
Furetière dans son dictionnaire (XVIIe s.) :
"AMOUR (s. m. & f.)" ... "l'amour divin" ... "l'amour paternelle, l'amour conjugale" ... "les amours brutaux" ... "folles amours"
👉 Son genre sera à votre guise, selon comment vous avez envie d'aimer.
Il attend dans l'antichambre de l'extrême-droite de pouvoir demain expulser du territoire façon ICE.
Il attend dans l'antichambre de l'extrême-droite de pouvoir demain expulser du territoire façon ICE.
D'une guerre qu'en finit pas
Pour l'avidité d'Israël
Condamnation éternelle
Table rase en Palestine
Par les colons ou la famine
Morts les enfants de guerre
Pour faire passer les bulldozers
Bal à l'ambassade
Qq vieux malades
Imbéciles & incendiaires
Se partagent l'univers
D'une guerre qu'en finit pas
Pour l'avidité d'Israël
Condamnation éternelle
Table rase en Palestine
Par les colons ou la famine
Morts les enfants de guerre
Pour faire passer les bulldozers
Bal à l'ambassade
Qq vieux malades
Imbéciles & incendiaires
Se partagent l'univers
C'était un concours de circonstances.
C'était un concours de circonstances.
□□□□□□ !
□□□□□□ !
C'est pratique, ça fera qu'un voyage.
C'est pratique, ça fera qu'un voyage.
Tonton Georges, voilà quelque trente années
Que, sur un fond d'orgue, tu nous as quittés.
Voilà quelque trente années que moi je suis né ;
Amère destinée de n'avoir pu se croiser.
Tonton Georges, voilà quelque trente années
Que, sur un fond d'orgue, tu nous as quittés.
Voilà quelque trente années que moi je suis né ;
Amère destinée de n'avoir pu se croiser.
LE FUNAMBULE COMDAMNÉ
Une feuille s’envole sur le gazon
S’élançant par de si longs à-coups
Et s’en vient me caresser au cou,
C’est la morte-saison;
Et au beau milieu des va-et-vient
Que font ses soeurs dans leur cimetière
Mon être se langui de chagrin
A voir filer un nouvel hiver.
[1/..]
LE FUNAMBULE COMDAMNÉ
Une feuille s’envole sur le gazon
S’élançant par de si longs à-coups
Et s’en vient me caresser au cou,
C’est la morte-saison;
Et au beau milieu des va-et-vient
Que font ses soeurs dans leur cimetière
Mon être se langui de chagrin
A voir filer un nouvel hiver.
[1/..]
Remettre sans relâche la brutalité des faits au cœur de la conversation publique sur la condamnation et l’incarcération de Nicolas Sarkozy 👇
Remettre sans relâche la brutalité des faits au cœur de la conversation publique sur la condamnation et l’incarcération de Nicolas Sarkozy 👇
Ce qu’il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu’il faut de sanglots pour un air de guitare
(Louis Aragon)
youtu.be/AQWfwGqPtGU?...
Ce qu’il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu’il faut de sanglots pour un air de guitare
(Louis Aragon)
youtu.be/AQWfwGqPtGU?...
Prisonnier du carcan social,
Les chaines aux pieds de nos évasions cérébrales,
On s'enfuit des regards qui nous condamnent
De ne pas oser nos folies ou d'accepter nos drames,
Et on se console par des maximes inassouvies:
"Il faut vivre ses rêves & pas rêver sa vie"
Prisonnier du carcan social,
Les chaines aux pieds de nos évasions cérébrales,
On s'enfuit des regards qui nous condamnent
De ne pas oser nos folies ou d'accepter nos drames,
Et on se console par des maximes inassouvies:
"Il faut vivre ses rêves & pas rêver sa vie"