Ensemble, nous pouvons faire appartenir la peine de mort au passé 🙌

Alors que des pays comme l'Iran, l'Irak et l'Arabie saoudite ont augmenté le nombre de leurs exécutions, contribuant à 91% des exécutions connues en 2024 et au total mondial le plus élevé depuis 2015 - les pays qui recourent cruellement aux exécutions sont fermement minoritaires.

145 pays sont désormais abolitionnistes en droit ou en pratique.

📈 En 2022, 6 pays l'ont abolie totalement ou partiellement
📈 En 2023, la Zambie a totalement aboli la peine de mort et le Pakistan et la Malaisie ont pris des mesures pour en réduire l'application
📈 En 2024, le Zimbabwe a aboli la peine de mort pour les crimes de droit commun

Ces dernières années, nous avons assisté à une évolution importante vers l'abolition de la peine de mort :

Les internautes ont subi une réduction du débit des connexions pendant 42 heures, limitant l’accès aux réseaux sociaux et aux sites d’information. Plus de 700 comptes de journalistes, de militant·e·s et de figures de l’opposition ont été bloqués sur Twitter/X.

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👉 Le 24 mars, lors d’une série de descentes effectuées à l’aube, au moins huit journalistes qui couvraient les manifestations ont été arrêtés à leur domicile.

👉 Les États doivent œuvrer ensemble et exiger la reprise immédiate d’un cessez-le-feu durable, la fin du génocide perpétré par Israël contre les Palestinien·ne·s de Gaza et le démantèlement de son système d’apartheid et d’occupation illégale du territoire palestinien.

Plus d'infos 👇
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Les gouvernements doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour faire cesser le génocide des Palestiniens et Palestiniennes commis par Israël à Gaza. Ils doivent mettre un terme à tous les transferts d’armes, ou ils risquent de se rendre coupables de complicité de génocide.

Le tout en prenant en considération le contexte du système d’apartheid, l’occupation illégale et le blocus inhumain imposés par Israël.

Pour établir l’intention génocidaire, Amnesty a examiné le schéma général de comportement d’Israël à Gaza et analysé la rhétorique raciste, déshumanisante et génocidaire employée par de hauts responsables israéliens.

Il révèle comment mois après mois, Israël a traité la population palestinienne de Gaza comme un groupe sous-humain ne méritant pas le respect de ses droits fondamentaux ni de sa dignité, et a démontré son intention de la détruire physiquement.

Il recense la manière dont Israël a commis 3 actes interdits par la Convention sur le génocide : des meurtres de Palestinien·ne·s, des atteintes graves à leur intégrité physique ou mentale, leur soumission intentionnelle à des conditions d’existence conçues pour entraîner leur destruction physique.

C'est la première décision connue de ce type depuis que la Cour Suprême du Japon a jugé inconstitutionnel le fait de demander une opération de stérilisation pour changer de #genre.
Les droits des personnes #transgenres sont des #droitshumains ✊.