www.rtbf.be/article/la-b...

Eh bien depuis notre article, l'auteur du site a clairement laissé tomber l'actu internationale, l'Ukraine et Trump pour se (re)lancer dans les sujets liés à la psychologie

Trop bien ! C'est pour ce genre de choses que je l'ai fait. Et aussi pour constater les bouleversements de la bruxellisation à travers le temps. Le quartier européen est passionnant à ce niveau

Oui Bruciel n’est pas à jour. Mais l’outil que j’ai mis dans mon premier post contient toutes les données disponibles

Uniquement Walonmap. C’est juste une manière différente de lire des données existantes

À noter que bruciel.brussels propose un service similaire mais sans possibilité de bouger le slider. Par contre on y trouve des centaines de photos d'archives géolocalisées !

Et ne vous excusez pas. Votre critique n’est pas désagréable ;-) bien cordialement

Quels sont ces contenus? Que nous disent-ils? Y a-t-il une modération de la part du réseau quand ces contenus tombent sous le coup de la loi? Nous avons répondu à ces questions. Pour le reste, des thèses ont été écrites sur le sujet et, à vous lire, je vois que vous en avez déjà pris connaissance

Merci d’avoir pris le temps de développer votre réponse :-) Notre méthode visait surtout à montrer qu’en s’arrêtant sur certains contenus plutôt que d’autres (ce que l’IA était en mesure de faire), l’algo prend vite le pli et vous en sert toujours plus

Merci pour votre retour, ça me fait plaisir que vous parliez de méthodologie « en carton » 😃 pourriez-vous me dire comment vous auriez procédé? La technique est certainement améliorable et toute idée est bonne à prendre

Alors que François Ozon présente son adaptation du roman à la Mostra de Venise, c'était l'occasion de tenter l'exercice.

Je me suis toujours demandé ce que ça donnerait si on mettait tout le texte du roman sous forme de spirale. Avec au centre "Aujourd'hui, maman est morte" et en bout de piste "des cris de haine".

Le soleil est un élément clef dans L'Étranger d'Albert Camus. Le mot revient à 43 reprises. Il est tantôt "débordant", "trop fort", "écrasant"...

"J'ai dit rapidement, en mêlant un peu les mots et en me rendant compte de mon ridicule, que c'était à cause du soleil."

Voilà ce que Meursault déclare lors de son procès après avoir tué "l'Arabe" sur une plage d'Alger.