Je veux aussi dire un mot sur ceux qui se réveillent aujourd'hui, par pur calcul électoral, alors que le génocide se déroule sous nos yeux depuis plus d’un an et demi. Vous n’étiez nul part pendant de longs mois, vous ne tromperez personne.

Alors oui, on se souvient d’Ascq.
Mais surtout : on se bat. On résiste. En leur mémoire.
Contre le racisme. Contre l’extrême droite.
Contre tous ceux qui les nourrissent à mots couverts. 6/6

Les fleurs sur les rails, c’est bien.
Mais elles ne pèseront rien si les discours de haine circulent dans les couloirs de la mairie, les plateaux télé ou les conseils municipaux. 5/6

Commémorer Ascq, c’est refuser les logiques de guerre : guerre aux pauvres, aux exilé·es, aux jeunes des quartiers, aux musulmans.
Ce n’est pas qu’un devoir de mémoire.
C’est un appel à la lutte. 4/6

C’est ça, le danger : le racisme institutionnel banalisé.
Pas besoin de croix gammées quand les stigmatisations viennent du pouvoir lui-même.
Le fascisme ne revient jamais en bottes. Il revient en costume. 3/6

2025 : le maire dépose une gerbe pour la commémoration. Puis il passe le reste de l’année à désigner les quartiers comme problématiques.
À stigmatiser les musulmans.
À parler comme l’extrême droite, sans le logo. 2/6

Je rappelle qu'une motion de censure est examinée aujourd'hui à l'Assemblée.

Les partenaires vont-ils enfin prendre leur responsabilité et censurer ce pourri ? #MotionDeCensure

En vrac :

👉 La complaisance avec la macronie
👉 Les intervs chez Valeurs actuelles
👉 Les échanges avec les maires RN
👉 La brigade du Lol
👉 Les liens douteux entre Vakita et Artémis
👉 Le refus de voir de la politique dans l'écologie

Il n'y a donc rien à tirer de #HugoClément.