revealing over 141 points of access for industrial food and farming through which they can oppose international pressure for cuts to agricultural emissions and shape summit outcomes in their favour."

"We counted more than 23 major companies and 29 industry groups which are active in the lead up or during this year’s climate talks (...),

Avec Émilie Gillet membre de l' @ajspi.bsky.social et @alinenippert.bsky.social spécialiste des enjeux de décarbonation.
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🤡 Et en parlant de projets douteux, lisez les épisodes de la série d'enquêtes sur le captage-stockage de CO2, publiés tout au long de la semaine sur @mediacites.fr.

Comprendre comment la connaissance scientifique se construit est fondamental à l'heure où les rapports du GIEC, et « la science » de manière générale, sert de caution à des projets de « décarbonation » fort douteux.

« Très rares sont les études consacrées au captage-stockage de CO2 qui évoquent le coût environnemental de ce procédé. Pourquoi ? Parce que ces recherches sont pour l’essentiel financées par les industriels. »

1️⃣ Du côté de Toulouse, une enquête ahurissante sur les ventilateurs géants d'Airbus pour décarboner l'air. Une technologie particulièrement énergivore… et polluante comme l'explique @alinenippert.bsky.social
www.mediacites.fr/enquete/toul...

#hydrogène Bonjour, je serai jeudi 16 janvier à la librairie La Cavale, à Montpellier, pour partager mon documentaire. @alinenippert.bsky.social présentera "Hydrogène mania", son livre enquête (Le passager clandestin). Au plaisir de vous rencontrer pour parler/débattre de la "promesse" hydrogène.

Et « la prise de conscience [qu’un accident grave directement causé par l’utilisation d’hydrogène pourrait “tuer la filière”] semble émerger moins vite que l’engouement pour cette nouvelle forme d’énergie », est-il indiqué le même document.

Demain, l’hydrogène est censé être manipulé/exploité par de nouveaux acteurs, comme des gestionnaires de bus, « moins aguerris à la maîtrise des risques », est-il souligné dans un rapport des services d’inspection du ministère de l’Économie et de la Transition écologique.

Il y a aussi une question de savoir-faire industriel. Aujourd’hui, les risques liés à l’hydrogène sont plutôt bien maîtrisés parce que les usages sont cantonnés à quelques grands acteurs de la chimie et de la pétrochimie.

L’hydrogène est en effet une molécule particulièrement explosive ET de touuuute petite taille, elle a donc tendance à fuiter extrêmement facilement (même entre les mailles cristallines de l’acier).

Pourtant, en admettant que les projets des chantres de l'hydrogène se déploient effectivement, plus l’hydrogène s’immiscera dans nos quotidiens (quand on prendra le bus, le taxi, voire quand on allumera le chauffage), plus il risque d'y avoir des incendies et des explosions liés à son exploitation.

Lors de mon enquête sur l’hydrogène, j’étais marquée par le fait que la question des risques était systématiquement minimisée par les acteurs du secteur de l’hydrogène que j’ai rencontrés. Il ne fallait surtout pas en faire des caisses au risque d’être une « agitatrice des peurs ».

À 700 000 euros le bus à hydrogène, dont environ 275 000 euros de subventions publiques (selon L'Est Républicain), la facture s'élève donc (au minimum) à 1,9 million d'euros pour le contribuable.