L'ensemble de ces éléments avait fait l'objet d'un courrier du collectif et de proches de Guillaume aux instances parisiennes du PCF.

Le Parti, et son groupe parisien, avait décidé de ne pas réintégrer M. Cochard et V. Laby.

En bonus (toujours aux mêmes dates), cette photo envoyée au collectif féministe @NiUnaMenos21 (sur X).

Au delà de l'inversion de la culpabilité qu'ils mettent en place, nous pouvons ajouter les propos à connotations misogynes de V. Laby/M. Cochard à des militantes féministes proches de Guillaume.

Tout ça autour de la date anniversaire de la mort de Guillaume. L'indécence totale.

Sans oublier ce tweet de Laby, qui remet l'exclusive responsabilité sur les proches de Guillaume.

Se déresponsabiliser et accabler Guillaume, ses proches, les féministes, le monde entier, sans jamais se remettre en question. Voilà leur ligne éditoriale.
x.com/VictorLaby_/...

Pour autant, ce compte, à la ligne éditoriale proche de M. Cochard et V. Laby (vouloir détériorer l'image des proches de Guillaume), m'a doxxé.

Rien de bien secret, à part quelques allégations fausses, ayant là encore pour objectif de décrédibiliser le
collectif #JusticePourGuillaume.

Loin d'un examen routinier, comme cela m'est d'abord présenté, je comprends très vite qu'il s'agit d'une pression concernant mon militantisme #JusticePourGuillaume, notamment sur les réseaux.

De l'aveu même du cabinet de la maire, ce sont les accusations en diffamation de M. Cochard et V. Laby qui ont motivé cet entretien.

Finalement, mon procès ne sera que le 30 janvier 2025, 3 ans après cette décision.

Le 10 février, au lendemain de l'anniversaire de la mort de Guillaume, je suis convoqué par le déontologue, sur décision du cabinet de A. Hidalgo.

Fait inédit. Malgré ce que le cabinet de la maire avancera, aucun autre stagiaire ne fera les frais d'une telle procédure.

Un an plus tard, j'ai réalisé un stage auprès de D. Simonnet, alors conseillère de Paris LFI.

M. Cochard a demandé à P. Bloche de me refuser l'accès à l'hôtel de ville (mon lieu de travail), sur la base d'une dangerosité supposée.

La presse, à nouveau, après l'impensable : le décès de Guillaume.

Là encore, Guillaume aurait menti sous la pression de ses proches. Ils continuent à se victimiser et blâmer les proches de Guillaume, à crier au règlement de comptes politiques (lesquels?).

Après cela, la presse.

D'abord contre Guillaume. Le Parisien qui publie "des photos joyeuses" de Guillaume avec M. Cochard, avec la mise en avant de leur relation à trois par leur avocate et de Guillaume ayant souhaité son anniversaire à Cochard.

Tout commence par le témoignage de Guillaume, et une menace de plainte en diffamation à son encontre.

Plutôt que d'entendre le témoignage, remettre en question d'éventuels comportements, ils ont choisi de recourir à la procédure bâillon : la plainte en diffamation.

Cela fait 4 ans que Guillaume nous a quitté, mais nous n'oublions pas sa parole qui lança le #MeTooGay.

Nous sommes attaqués en diffamation pour des actions #JusticePourGuillaume menées par Paris Queer Antifa.

Retour sur 4 ans de pressions et de propos inacceptables ⬇️