Wtf la contribution de Damasio. Même pour une cause aussi juste il peut pas s'empêcher d'être cringe ?

"Damasio imagine que des enfants palestiniens ressuscitent dans le ventre d’Israéliennes (...). À terme, la bande de Gaza se métissera « d’une façon inattendue »…"

Hé ho ça va oui?

FAMA(s)
Je suis.
— Non. J’apparais.
— Non. On me projette.
— Non. Je m’injecte dans les rétines comme un flash trop vif,
où l’égo, boursouflé comme un goitre d’église,
s’autocélèbre en boucle dans la kermesse cathodique des vanités.

Frime ange noir graphique au fion creux

« Amazn m’a griller »

Scanne moins, lis plus.
Ta rétine mérite mieux qu’un flux.
Cette BD te bugue l’âme,
te code un doute.
Résiste : pense en bulle, pas en boucle.

J’te parle en syllogismes bioniques,
Dans l’flux des circuits phonéthiques,
Quand Plant.net pirate mes feuilles,
Et je greffe mes gènes au réseau d’airbnb
Jte propose mon melon.
Un truc qui pousse sous réseau, bio-néon.
Un hybride, croisé d’exil et d’Eden,
Un goût d’ailleurs, un sucre qui saigne.

Ok j'ai une vision
Un texte de Damasio anti IA titré
"dés générés"

Auto-entrepreneur, t’es libre, mais pas trop,
La TVA te court après, elle te pique à chaque mot.
T’as l’impression de rouler, mais tu freines tout le temps,
T'es un chef, mais l'Etat te file des factures
Entre les papiers et les taxes, t’es plus un entrepreneur, t’es un surf sur la mer de l'impôt

TikTok, le rythme d’un empire,
Dans l'ombre de la tour –
La danse est politique.

Les yeux rivés sur la scène,
Les doigts glissent, la trame s’effiloche.
Tous dansent,
Tous enchaînés à l’écran.
Chacun veut sa place
Dans le cirque des flammes.
Les hashtags éclatent,
Mais le silence
Trump

Zuckerberg sous le voile,
L’algorithme qui ment
Esclave des pixels
Derrière les murs de verre
Les likes se font armes
Chaque écran,
La vérité devient monnaie –
Une influence immonde, une chute.
Les groupes se forment,
Les rêves se tordent –
Mais il sourit, le parrain.
Le marionnettiste du flux.

Musk, fils du vent,
Son étoile s’éteint en silence –
Tesla s’enflamme.
Là, où l’ombre s’étend,
Là où la vérité se plie,
Il porte l’empreinte d’un rêve.
Autocratie ou dilemme
Le futur ne l’attend plus
Il suit l’orbite de l’infâme
“Freedom!” en slogan
Mais son cœur bat dans la cage
Le Trumpisme danse

Les algorithmes clignotent sous l’arbre du chaos,
Le sapin vert fluo, la neige synthétique.
En boîte de réception, l’assaut des réseaux :
"Offre limitée, viens fouiller ta mécanique."

Jingle bells, mais en blockchain,
Un père Noël digital te parle en data,
Ton cookie suit le temps comme une chaîne

Trump à la tête du monde, une chance de secouer,
Un vent de révolte, de l’ordre à réinventer.
Les murs tombent, les voix se lèvent,
L’Amérique se cherche, mais l’espoir sans trêve.
Dans ce tourbillon, les rêves résonnent fort,
Le changement naît là où la lutte mord.

Les yeux rivés sur le displaie, à l’abri de mon textilococon appelé bob par les beauf, les notifications rythment le cours de mon spleef de l’été. Le court des haine-FC guident désormais mon avenir. Et vous? Je suis le Vian de Vias

A force de surfer sur des pixels nous oublions d’aller à Lacan eau.

Combattons pour la biodiversion, c’est un appel au vivant! Appeler au vivant, c'est dire à l'appel de la nature qu'on répond présent, malgré nos technococons.

Présents, nous le sommes, pour que demain, la nature le soit aussi.

Face à la pollution de l'air, nous prônons le retour à la marche. Marcher, c'est marquer le pas vers un futur respirable. Respirer, c'est aspirer à plus, et nous aspirons ensemble à un air pur