J'écris, pose des citations, des extraits de bouquins, des photos en noir et blanc et de la musique.
Ici, c'est bienveillance, jolies choses, rigolade et le tout en vrac.
La nuit s’étire, complice de ses tourments muets.
Ses pensées tournent, tels des loups en captivité.
Les heures défilent, mais le sommeil, lui, se dérobe.
Il revoit ses échecs, les visages qu’il a perdus, les rêves qu’il a trahis.
La nuit s’étire, complice de ses tourments muets.
Ses pensées tournent, tels des loups en captivité.
Les heures défilent, mais le sommeil, lui, se dérobe.
Il revoit ses échecs, les visages qu’il a perdus, les rêves qu’il a trahis.
Le silence, lui,s’épaississait, cruel et glacé.
Alors elle prit son manteau, fuyant cette chambre étouffante.
Sous la pluie, chaque pas résonnait comme un adieu muet.
Et la nuit l’accueillit...
Le silence, lui,s’épaississait, cruel et glacé.
Alors elle prit son manteau, fuyant cette chambre étouffante.
Sous la pluie, chaque pas résonnait comme un adieu muet.
Et la nuit l’accueillit...
Chaque trait grave une image qu’il refuse d'oublier.
Il tatoue les rires perdus, les visages effacés.
La douleur faite par l'aiguille lui rappelle qu’il existe encore.
Ainsi, il se dessine pour ne jamais disparaître.
Chaque trait grave une image qu’il refuse d'oublier.
Il tatoue les rires perdus, les visages effacés.
La douleur faite par l'aiguille lui rappelle qu’il existe encore.
Ainsi, il se dessine pour ne jamais disparaître.
Ses doigts tremblaient d’un doux secret à livrer,
La lumière caressait sa peau dévoilée,
Promesse brûlante qu’elle osait partager.
Un souffle retenu, un vif émoi,
Quand l’écran vibra : il la désirait déjà.
Ses doigts tremblaient d’un doux secret à livrer,
La lumière caressait sa peau dévoilée,
Promesse brûlante qu’elle osait partager.
Un souffle retenu, un vif émoi,
Quand l’écran vibra : il la désirait déjà.
Il coule lentement, étouffant tout espoir,
Il ronge les veines, il dévore la mémoire,
Chaque baiser donné rapproche un peu plus le désespoir,
Et l’âme s’éteint lentement, seule, face à son miroir.
Il coule lentement, étouffant tout espoir,
Il ronge les veines, il dévore la mémoire,
Chaque baiser donné rapproche un peu plus le désespoir,
Et l’âme s’éteint lentement, seule, face à son miroir.
Lui tend ses mains, ses rêves misérables.
Un mot, un cœur, mais toujours en retrait,
Elle sourit, pourtant sans jamais céder.
Lui, naufragé d’un désir condamné,
Elle, rivage qu’il ne peut jamais toucher.
Lui tend ses mains, ses rêves misérables.
Un mot, un cœur, mais toujours en retrait,
Elle sourit, pourtant sans jamais céder.
Lui, naufragé d’un désir condamné,
Elle, rivage qu’il ne peut jamais toucher.
Il cherche une étoile pour apaiser ses yeux.
Il tombe, puis se lève, apprenant à grandir,
Il garde dans son cœur l’élan de s’enfuir.
Il croit aux lueurs même au bord du dévouement,
Il reste un homme plein de doutes pourtant.
Il cherche une étoile pour apaiser ses yeux.
Il tombe, puis se lève, apprenant à grandir,
Il garde dans son cœur l’élan de s’enfuir.
Il croit aux lueurs même au bord du dévouement,
Il reste un homme plein de doutes pourtant.
Une pépite ☺️🤘🏻
www.youtube.com/watch?v=tOuW...
Une pépite ☺️🤘🏻
www.youtube.com/watch?v=tOuW...
Vidéo perso
Vidéo perso
Marseille Vélodrome 2025
Marseille Vélodrome 2025
Vélodrome Marseille 2025
Vélodrome Marseille 2025
Planète Mars
2025
Planète Mars
2025