du visage – on dirait qu'elle m'appelle,
que soudain elle me caresse,
moi, qui ne sais même pas encore
comment assembler les syllabes du silence
et sur elles m'endormir.
Eugénio de Andrade, Le poids de l'ombre (1982, trad. Chandeigne/Quillier/Câmara Manuel).
Belle exposition sur la ville de la période pré-romantique à nos jours ; nombreux prêts (New York, Zürich, Paris). Ici Isabey, Schirmer, Monet et Vallotton.
Belle exposition sur la ville de la période pré-romantique à nos jours ; nombreux prêts (New York, Zürich, Paris). Ici Isabey, Schirmer, Monet et Vallotton.
Défilent depuis hier ses Turina, Soler, Granados et quelques autres qu'on n'entend jamais en récital. Plus encore que les couleurs dont regorge son piano, c'est l'autorité et la décision de son jeu qui m'éblouissent.
Défilent depuis hier ses Turina, Soler, Granados et quelques autres qu'on n'entend jamais en récital. Plus encore que les couleurs dont regorge son piano, c'est l'autorité et la décision de son jeu qui m'éblouissent.
La seule que je connaisse de tout le répertoire.
La seule que je connaisse de tout le répertoire.
Je suppose que c'est symptomatique de l'époque.
Je suppose que c'est symptomatique de l'époque.
C'était à la Philharmonie de Paris hier, le saisissant Requiem de Ligeti par l'orchestre de Paris dirigé par Esa Pekka Salonen.
C'était à la Philharmonie de Paris hier, le saisissant Requiem de Ligeti par l'orchestre de Paris dirigé par Esa Pekka Salonen.
#JaiJamais
Je commence: j'ai jamais mangé de fondue savoyarde
#JaiJamais
#JaiJamais
Il réalise de magnifiques aquarelles, dont certaines sont actuellement visibles dans la petite exposition « Merveilleux Moyen Âge » au musée Gadagne de Lyon.
Il réalise de magnifiques aquarelles, dont certaines sont actuellement visibles dans la petite exposition « Merveilleux Moyen Âge » au musée Gadagne de Lyon.
Après Visée/Corbetta en 2015, Lislevand revient avec Kapsberger et quelques autres (Italiens notamment). On aimerait entendre de telles merveilles plus souvent qu'une fois tous les dix ans !
Après Visée/Corbetta en 2015, Lislevand revient avec Kapsberger et quelques autres (Italiens notamment). On aimerait entendre de telles merveilles plus souvent qu'une fois tous les dix ans !
www.albin-michel.fr/le-grand-alm...
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