ANALYSE. Ecrire ne nous permet pas seulement de communiquer, mais nous aide à organiser nos idées. Recourir aux générateurs de texte par intelligence artificielle revient donc à laisser les milliardai...

Mercredi 12 novembre à 18h30 à l’Impasse, c’est l’assemblée anticarcérale ! Et on vous attend nombreux.es !

Alors que les femmes s’imposent pas à pas sur les plateaux de sport, le rôle de commentateur sportif semble à peine débuter sa mue. Entre clichés sur les voix féminines, manque de confiance et concurr...

L’histoire du journalisme de guerre est faite de contrôles et de censures. Pourtant, ce qui se joue à Gaza depuis octobre 2023 est sans précédents : un huis clos imposé, inédit par sa durée et meurtri...

The European and International Federations of Journalists (EFJ-IFJ) extend their condolences to the family and relatives of French photojournalist Antoni ...

Aux États-Unis, un célèbre figure de la droite radicale, Charlie Kirk, a été tué par balle, mercredi 10 septembre, alors qu'il s'exprimait dans une université de l'Utah (ouest du pays). Le tireur est toujours recherché par la police et ses motivations ne sont pas encore connues. À 31 ans, Charlie Kirk était un influenceur et militant très connu et défendait des idées ultra-conservatrices, comme l'explique sur l'antenne de RFI, Romuald Sciora, chercheur associé à l'Iris. 

Le ministère de l’Intérieur vient de sortir son « Schéma national des violences urbaines », véritable mode d’emploi d’action-réaction des forces de l’ordre durant émeutes....

Elle avait demandé à ce que personne ne pleure à son enterrement. Elle avait tout prévu, y compris une lettre posthume pour son fils de 13 ans. La journaliste et photographe palestinienne Mariam Abu Dagga, 33 ans, a été tuée lundi 25 août par Israël avec quatre autres de ses collègues journalistes, alors qu'elle se précipitait pour informer d'une nouvelle frappe sur l'hôpital al-Nasser. Elle avait dédié sa vie à montrer la réalité de cette guerre génocidaire, à porter la voix des civils palestiniens. Elle en a payé de sa vie.  

Dans le monde entier, les rédactions s’inquiètent pour leurs collaborateurs palestiniens à Gaza. Environ 180 médias dans 50 pays devaient relayer, lundi 1ᵉʳ septembre, un appel de Reporters sans front...

Les journalistes gazaouis considèrent que les silences gênants et le manque de condamnations, notamment de la frappe israélienne, lundi 25 août, contre l'hôpital al Nasser sont un manque de solidarité de la part de la presse occidentale envers leurs collègues palestiniens tués. Les conditions de travail sont inimaginables. Plus de 200 journalistes ont été tués en deux ans. Et eux continuent à travailler.

En frappant délibérément cinq journalistes de la chaîne qatarienne Al Jazeera et un reporter indépendant, Tel-Aviv aggrave un bilan déjà macabrement historique. L'absence de répercussions concrètes autorise Israël à continuer de cibler la presse dans la bande de Gaza, sous couvert de lutte contre le terrorisme.