Le 31 mars marque la journée internationale de visibilité transgenre, aussi connue sous le nom de #TDoV pour « Trans Day of Visibility». Et nous avions des choses à vous dire ⤵️

J'étais invitée aujourd'hui par l'@epjtours.bsky.social pour parler de discrimination envers les personnes LGBTI+dans et par les médias avec Karine Espineira, sociologue des médias et Frédérique-Marie Lamouret, cofondatrice de France.tv pour tou•tes,,merci pour ces échanges!

La Dépêche du Midi, Midi Libre, @20minutes.bsky.social @actu.fr : merci de retirer ou de reformuler ces articles aux propos dangereux et irrespectueux, par respect pour la victime ;

Nous en avons tiré une étude qui observe comment cette déferlante médiatique a véhiculé sensationnalisme, amalgames homophobes, préjugés sur l’addiction et approximations sur le chemsex 👉 affaire-palmade.ajlgbt.info

Sur quatre semaines de couverture par les médias, nos membres ont analysé 30 heures et 50 minutes de magazines de BFM TV, 6 contenus originaux publiés sur bfmtv.com, 30 articles du Parisien/Aujourd’hui en France et 43 contenus originaux publiés sur leparisien.fr

Rien que les chiffres donnent le vertige : sur le seul mois de février, l’affaire a été mentionnée près de 30 000 fois dans les médias, avec une moyenne de 1 573 contenus par jour. Une bulle médiatique durant laquelle le drame a été commenté, amplifié et disséqué ad nauseam

Fausses informations, raccourcis homophobes, entorses déontologiques, stigmatisation des personnes pratiquant le chemsex... Deux ans après l’accident causé par Pierre Palmade le 10 février 2023, l'analyse du traitement médiatique de « l'affaire » est sans appel