On commence sérieusement à manquer de superlatifs (ou peut-être de souffle ?) pour décrire la vague incessante de fonctionnalités d'IA générative que Google déverse sur ses produits. Et aujourd'hui, c'est au tour de Google Photos, notre galerie de souvenirs numérique, de recevoir sa plus grosse mise à jour IA à ce jour. La nouvelle n'est pas une mince affaire, le géant de Mountain View tient enfin sa promesse d'intégrer son modèle d'édition d'image de pointe, le fameux « Nano Banana », au cœur de l'application.

Si vous faites partie de la Génération Z, ou même un Millénial attardé, vous vous souvenez. Oh oui, vous vous souvenez. Ce son. Ce bip bip bip strident, capable de percer le silence d'un cours de mathématiques et de vous glacer le sang. C'était le son de la responsabilité. C'était le son de votre Tamagotchi. Ce petit œuf en plastique venu du Japon était une leçon de vie brutale, un simulateur de parentalité hardcore pour les moins de 12 ans.

Quand nous levons les yeux vers le ciel nocturne, nous sommes saisis par un spectacle de lumière et d'activité. Des milliards d'étoiles, des galaxies s'étendant à perte de vue. L'Univers nous semble être un lieu d'une vitalité débordante, en perpétuelle création. Mais si ce que nous voyions n'était que l'écho d'une fête cosmique dont le point culminant est déjà derrière nous ?

Depuis des années, la communauté du jeu sur Linux vit une véritable renaissance, en grande partie grâce aux efforts inlassables de Valve. Avec l'avènement du Steam Deck, le monde entier a découvert la puissance de SteamOS et de sa couche de compatibilité miracle nommée Proton. Cette dernière a lentement mais sûrement amélioré ses capacités, permettant à des milliers de jeux conçus pour Windows de fonctionner de manière transparente sur Linux.

Patreon a longtemps été perçu comme le refuge, le sanctuaire des créateurs de contenu fatigués de la course effrénée aux algorithmes. C'était la promesse d'une relation directe, presque intime, entre un artiste et sa communauté, un lieu où le soutien financier primait sur la viralité éphémère. Mais aujourd'hui, cette forteresse tranquille commence à ressembler étrangement aux plateformes qu'elle cherchait à fuir.

L'univers du jeu vidéo est bâti sur des cycles, des générations de consoles qui se succèdent, chacune promettant plus de puissance, des graphismes plus époustouflants et, surtout, des expériences de jeu exclusives qui justifient l'achat d'une nouvelle boîte. Pourtant, un vent de changement souffle sur l'industrie. Si vous avez l'impression que la frontière entre les consoles de salon et les PC de jeu s'amincit, vous n'avez encore rien vu.

La roue de l'innovation ne s'arrête jamais chez Mozilla. Alors que nous attendons tous le lancement officiel demain, la fondation a déjà mis à disposition les versions finales de Firefox 145 sur ses serveurs. C'est une tradition pour les plus impatients et les passionnés de technologie, leur permettant de découvrir en avant-première ce que nous réserve cette nouvelle itération du célèbre navigateur open-source.

Nous le sentons tous. Une certaine lassitude s'est installée vis-à-vis d'Internet, ou du moins, de ce qu'il est devenu. L'excitation des débuts des réseaux sociaux, cette promesse d'un monde connecté et ouvert, s'est érodée pour laisser place à un défilement infini, à une course à la performance (likes, vues, abonnés) et à une polarisation fatigante. Les grandes places publiques numériques que sont devenus Facebook, X ou Instagram semblent avoir perdu leur âme.

Oubliez la meth bleue et les avocats véreux. Vince Gilligan, le papa de Breaking Bad et Better Call Saul, est de retour. Et après nous avoir prouvé pendant 15 ans que l'enfer c'est les autres (surtout dans un camping-car au Nouveau-Mexique), il a décidé de nous montrer un truc encore plus flippant, un monde où tout le monde est gentil.

L'année 2025 a été tout simplement spectaculaire pour la neurotechnologie, du moins si l'on fait abstraction de ceux qui la financent. En août dernier, un minuscule implant cérébral a réussi à décoder la parole intérieure de patients paralysés, une prouesse autrefois réservée aux romans d'anticipation. En octobre, un autre dispositif a restauré partiellement la vue de personnes l'ayant perdue. De véritables miracles médicaux se dessinent à l'horizon.

Regardez vos étagères. Combien en avez-vous ? Une, dix, peut-être cinquante ? Ces petites figurines en vinyle aux yeux ronds et à la tête disproportionnée sont devenues, en un peu plus de dix ans, un pilier incontournable de la "fandom economy". Les Funko Pops sont avant tout un marqueur culturel. De Game of Thrones à Stranger Things, en passant par les héros de Marvel, les icônes du jeu vidéo ou même les acteurs et musiciens, tout ce qui touche de près ou de loin à la pop culture a, tôt ou tard, eu droit à sa version Pop.

L'hypercholestérolémie. Pour des millions de personnes à travers le monde, ce terme est synonyme de surveillance alimentaire, de médicaments quotidiens (les fameuses statines) et d'une menace sourde qui pèse sur leur santé cardiovasculaire. C'est l'un des tueurs silencieux de notre époque, un mal commun, presque banalisé, mais aux conséquences potentiellement dévastatrices. Et si, au lieu de gérer les symptômes à vie, nous pouvions corriger le problème à sa source, en une seule fois ?

Découvrez la nouvelle adaptation de _Frankenstein_ par Guillermo del Toro, une exploration poignante des thèmes d'humanité et de monstruosité.

Le 6 novembre 2015. Une date qui, pour les initiés, marque l'arrivée d'un album qui allait apporter une nouvelle bouffée d'air frais dans la musique instrumentale. The Universe Smiles Upon You, le premier album studio de Khruangbin, posait les bases d'un son qui semblait à la fois venir d'un passé lointain et d'un futur fantasmé. Dix ans plus tard, jour pour jour, le trio psych-funk de Houston, composé de Laura Lee Ochoa (basse), Mark Speer (guitare) et Donald "DJ" Johnson (batterie), célèbre cet anniversaire d'une manière aussi surprenante que poétique.

La prochaine fois que vous croiserez une réponse étonnamment courtoise ou une intervention parfaitement articulée au milieu du chaos habituel d'un fil de discussion sur les réseaux sociaux, méfiez-vous. Vous pourriez être en train d'interagir avec un modèle d'intelligence artificielle qui tente, sans grand succès, de se fondre dans la masse. L'ère de l'IA conversationnelle omniprésente est arrivée, mais il semble que les bonnes manières soient leur talon d'Achille.

Chaque 7 novembre, c'est le même rituel. Les fans de la saga Mass Effect se connectent, le cœur battant, espérant un signe, une miette d'information sur l'avenir de leur univers de science-fiction bien-aimé. Cette année, le "N7 Day" n'a pas déçu, mais il est arrivé dans un contexte plus tendu que jamais. Mike Gamble, le producteur exécutif de la franchise, a pris la parole via un…

Ah, X ! L'héritier turbulent de ce bon vieux Twitter. On pensait la plateforme occupée à changer de logo ou à débattre de la liberté d'expression absolue, mais il faut croire qu'il restait un peu de temps aux ingénieurs pour une expérience "innovante" sur iOS. Et quelle expérience ! Depuis quelques temps, certains sites, comme Substack ou Bluesky, ont remarqué un phénomène quasi miraculeux, leur trafic en provenance du réseau social grimpe en flèche.

Accrochez-vous à vos stéthoscopes et cachez les pièces de monnaie (le concierge est peut-être dans le coin). La nouvelle que personne n'osait plus espérer, celle qui semblait aussi probable que de voir le Dr. Cox sourire gratuitement, est tombée, Scrubs revient ! Non, ce n'est pas un nouveau rêve étrange de J.D. Quinze ans après nous avoir laissés sur une saison 9...

Chers amis, préparez-vous, l'impensable vient d'être confirmé par The Hollywood Reporter, Warner Bros a officiellement fixé une date de sortie pour Gremlins 3. Notez-le dans vos agendas, gravez-le sur la porte de votre frigo, prévenez votre grand-mère, le 19 novembre 2027, ils reviennent. Ma première réaction ? Une joie pure, non filtrée. Ma deuxième, cinq secondes plus tard ?

Il y a des moments dans une vie numérique où l'on tombe sur un outil qui semble tout simplement juste. Un logiciel qui non seulement fonctionne, mais qui procure une réelle satisfaction à l'usage. Pour moi, ce moment vient de se produire, et le catalyseur de cette révélation s'appelle Zorin OS. Mon parcours avec cette distribution Linux a été fulgurant, presque irrationnel.

Sam Altman, le PDG d'OpenAI, est passé maître dans l'art de secouer l'industrie. Hier, il a de nouveau fait trembler les fondations de la Silicon Valley. Alors qu'il cherchait à dissiper certains malentendus issus de la chambre d'écho des réseaux sociaux, il a, presque nonchalamment, lâché une bombe qui ressemble à l'annonce d'un pivot stratégique de premier plan, voire d'un tout nouveau business model pour la startup la plus en vue de la planète.

Quatre ans. C'est le temps qu'il aura fallu pour digérer l'uppercut Civilisation. Un album qui n'a pas seulement défini une année, mais qui a scellé le statut d'Orelsan en tant que chroniqueur générationnel, le plaçant sur un trône inconfortable, celui de l'artiste le plus attendu de France. La question n'était donc pas de savoir s'il allait revenir, mais comment. Comment survivre à son propre triomphe?

Alors que les utilisateurs réclament plus d'authenticité et moins de pollution numérique, Meta choisit une voie radicalement opposée. L'entreprise a annoncé ce jeudi le lancement de "Vibes" en Europe, son nouveau flux de vidéos courtes 100% générées par intelligence artificielle, intégré à l'application Meta AI. Oubliez la créativité humaine de TikTok ou l'instantanéité des Reels Instagram, Vibes est une dystopie algorithmique où chaque vidéo est synthétique.

C'est la nouvelle que personne ne voulait lire, le titre que tous les joueurs redoutaient de voir apparaître sur leur fil d'actualité. La sentence est tombée, implacable, via un simple message sur les réseaux sociaux, Grand Theft Auto VI est à nouveau retardé. Rockstar Games vient de doucher les espoirs de millions de fans à travers le monde en annonçant une nouvelle date de sortie, fixée désormais au 19 novembre 2026.

Depuis des dizaines d'années, le récit de notre univers semblait gravé dans le marbre cosmique. Après le Big Bang, tout a commencé à s'étendre. Puis, à la surprise générale, nous avons découvert que cette expansion ne ralentissait pas sous l'effet de la gravité, comme on aurait pu s'y attendre. Au contraire, elle accélérait. C'est comme si vous lanciez une balle en l'air et qu'au lieu de retomber, elle filait vers le ciel de plus en plus vite.