entre deux courses-poursuites survient une leçon de morale sur la rédemption. Un vrai plaisir en salle… à l’inverse de la pub insupportable avec JP Zadi et Alice Belaïdi pour en faire la promo
★★★½

2/2

On sent que le réalisateur a voulu bien faire, sans prendre les spectateurs pour des idiots. C’est coloré, mais sérieux. C’est drôle, mais ça raconte des choses pertinentes
5/5

et surtout la naïveté touchante de ce Superman qui veut bien faire, malgré un monde autour de lui bien plus sombre. C’est une lumière dans le néant, un retour d’un léger kitsch assumé qu’on aime tous, au fond. Un vrai retour à l’âge d’or du personnage, ouvert à un large public
4/5

Ce Superman fait sourire, il rend heureux. J’ai retrouvé sur grand écran LE Superman que je lis dans les comics. C’est aussi une bonne adaptation, rien qu’en ressentant cet effet "comics" dans le film : la caméra qui tremble, qui a du mal à suivre #Superman, les effets de vitesse, la légèreté
3/5

Loin d’un Superman sombre inspiré des comics comme Terre-Un ou #Injustice, celui de 2025 est joyeux, plein d’espoir, truffé de défauts qui le rendent profondément humain
2/5

Je ne pense pas que la série fera vraiment avancer l’univers Marvel, mais pour ce que c’est, c’est loin d’être catastrophique. Elle ne méritait clairement pas d’être abandonnée sans promo ni soutien, même si honnêtement c'est mauvais.
7/7

Je pense que dans les trois épisodes restants, The Hood affrontera Ironheart, et qu’à la fin ou en scène post-générique on aura probablement une apparition ou une référence à Méphisto, un personnage attendu depuis des années
6/7

L’intelligence artificielle créée par Riri, Natalie, est juste insupportable. Le schéma narratif est ultra classique, très proche de Miss Marvel, donc il ne faut pas s’attendre à des surprises
5/7

Il y a très peu de subtilité. (⚠️ Spoiler) Joe, qui s’avère être le fils d’Obadiah Stane, c’est amené de façon super lourde. La scène nous explique tout en détail et insiste tellement qu’on a l’impression d’être pris pour des idiots
4/7

Le souci, c’est que presque tous les personnages sont fades, comme s’ils étaient là juste pour combler le vide. La semaine prochaine, ce sera déjà la fin de la saison, alors peut-être qu’on aura une petite remontée
3/7

Certes, les trois premiers épisodes sont moyens et assez oubliables, mais pas mauvais. Il y a quand même de bonnes idées. Les flashbacks liés aux traumatismes sont plutôt bien faits : on vit les souvenirs douloureux avec les personnages
2/7

Les infectés ont évolué. On découvre plusieurs variantes : les rampants, les coureurs, et les Alphas, à la fois intelligents, effrayants et imprévisibles. Cette évolution ouvre des pistes intrigantes : jusqu’où peuvent-ils aller ? Deviendront-ils presque humains ?

8/8

★★★½

Le médecin, quant à lui, est un personnage fascinant, étrange, dérangeant. Il incarne à sa façon un message poignant autour de l’acceptation de la mort. "Memento mori", avec une quête presque spirituelle d’hommage aux disparus, marquant et inoubliable.

7/8

Du côté des personnages, le film met intelligemment Spike au centre du récit. On le voit évoluer, grandir rapidement et assumer des responsabilités, ce qui apporte une dimension symbolique forte et renforce l’attachement du spectateur à son parcours.

6/8

Parmi les choix artistiques, les scènes d’hallucination teintées de rouge sont les plus marquantes. Elles sont à la fois belles, angoissantes et symboliques, mais malheureusement trop peu présentes. Leur esthétique aurait mérité d’être mieux exploitée.

5/8

Une particularité notable est le recours à des scènes tournées à l’iPhone, ce qui renforce l’immersion. On se croirait parfois dans un jeu vidéo, entre vue à la première personne et style troisième personne, pour un rendu brut et viscéral.

4/8

La mise en scène joue un rôle majeur dans cette sensation de désordre : plans penchés, effets de vitesse, et usage du bullet time créent des instants visuellement marquants. On sent une volonté de casser la linéarité du cadre, de désorienter.

3/8

Ce film commence entouré de mystère, d’intrigue et d’une ambiance angoissante. Il s’inscrit comme un mélange des deux précédents volets. Moins centré sur l’horreur pure, il s’oriente davantage vers l’action, avec un rythme chaotique et très mouvementé.

2/8