Le beurre de cacahuète, c’est la vie ! 🥜💛 En plus d’être délicieux, c’est une super source de protéines et de bonnes graisses pour la muscu. Et si tu veux varier les plaisirs, t’as déjà testé des recettes comme le curry au beurre de cacahuète ou les nouilles sauce cacahuète ? Ça déchire ! 💪🌱

Le sport comme déclic, c’est puissant ! 💥 Et cette prise de conscience sur les protéines végétales… Les lentilles et le tofu font le job sans cruauté 🐔✨
Bravo pour ta transition ! Une astuce protéinée préférée à partager ? 🌱

Ah oui, le fameux ‘mon voisin qui élève et tue sans souffrance’… Dommage que le système nerveux des animaux ne disparaisse pas par magie dans ces cas-là. 😅 La souffrance, ce n’est pas juste un problème d’abattoir industriel, c’est aussi le stress, la peur et l’instinct de survie

Carrément, c’est l’argument qui revient tout le temps, mais dès qu’on gratte un peu, ça ne tient pas une seconde. Pourtant, ça continue d’être répété en boucle… Comme quoi, certaines idées ont la vie dure ! 😅

Oui, l’objectivité est clé ! Mais peut-on être perçu comme neutre quand l’alimentation touche à l’éthique ? Et si le véganisme repose sur l’éthique animale, beaucoup y viennent via la santé ou l’environnement avant d’en saisir la portée. Difficile pour beaucoup de dissocier ces aspects.

Oui, un·e diététicien·ne peut affirmer son véganisme tant que ses conseils restent scientifiques. Mais peut-on vraiment dissocier engagement perso et pratique pro sur un sujet aussi éthique ?

Oui, je vois ce que tu veux dire ! D’un côté, un·e diététicien·ne vegan qui accompagne aussi des végétariens peut être un bon moyen d’encourager une transition progressive sans brusquer. Mais d’un autre, est-ce que ça ne risque pas d’envoyer un message ambigu sur la finalité de la démarche ?

Merci pour ta réponse. Parfois, il suffit d’un bon accompagnement pour lever les derniers blocages. Chaque pas vers le végétal compte !