Belle du Seigneur et tous les Nothomb.

Bah si, en fait. Il n'y a personne qui défend les deux points de vue à la fois, juste deux visions très différentes de nos relations futures avec la Russie. Ce n'est pas différent de ce qui s'est passé entre les deux guerres mondiales ou pendant la guerre froide.

I, for one, welcome our Roman overlords.

Nihilistic nazis? I thought at least they had an ethos...

Si je dois citer des personnages célèbres qui m'inspirent, je citerais Hari Seldon pour sa vision, Galadriel pour son écologie non-punitive, et Ford Prefect.

Sur un plan plus personnel, les Pages Jaunes des Vosges, pour leur chef d'œuvre, l'édition 1993-1994.

La limite posée, c'est le retrait de la réforme des retraites, non?

"En cours" voulait dire "pendant qu'il enseigne", pas "présentement".

C'est peut-être naïf, mais c'est la situation proposée. Si quelqu'un a des exemples de prosélytisme d'extrême-droite en cours de la part de Gentillet, qu'il les rapporte car ça change complètement la donne.

Je ne pense pas que défendre le droit d'enseigner sans avoir à répondre de ses opinions privées risque de porter l'extrême droite au pouvoir (tant qu'on ne fait pas de propagande en cours, bien sûr).
Le cordon sanitaire belge, dans les média et en politique, me semble plus pertinent.

Je pense que "se faire l'avocat de Gentillet" est une lecture exagérée d'un tweet de soutien institutionnel qui rappelle que le monsieur est un facho. Le débat qui prend de l'ampleur et du temps à gauche est sur la question de l'universalité de la liberté de conscience, pas sur le cas Gentillet.

Je suis partisan de défendre les principes à chaque fois qu'ils s'appliquent. C'est discutable, et je suis revenu des conceptions maximalistes que j'ai pu avoir dans le passé, mais pour moi, un principe ne peut se résumer à un outil tactique.

Non, le risque institutionnel, c'est d'avoir un délit d'opinion qui n'aura pas besoin d'actes répréhensibles pour être activé. C'est un gros problème quelle que soit la doxa imposée.