Thomas Jj
thomas-jj.bsky.social
Thomas Jj
@thomas-jj.bsky.social
Administratif au CNRS, militant au SNPTES-UNSA
Côté CDD, on voit qu’il y a une forte augmentation, même si on part de très bas.
8/11
December 4, 2025 at 10:41 AM
Je n’ai hélas pas de chiffres sur le flux de sortie du CET, combien de jours sont transformés en indemnitaire ou en RAFP.

Néanmoins l’indemnitaire CET sur la masse salariale augmente, dépassant les 20M€ en 2024. La revalorisation de l’indemnisation et l’inflation y sont peut-être pour qqchose.
7/
December 4, 2025 at 10:41 AM
Les stats RSU du nombre de jours CET déposés laissent apparaitre une probable anomalie, une rupture méthodologique à partir de 2023.

On est dans du flux d’entrée de CET mais difficile d’analyser sur 2 années seulement.
6/11
December 4, 2025 at 10:41 AM
Côté pluriannuel, le nombre d’agents IT et chercheurs avec un CET se stabilise depuis 5 ans, pendant que leur nombre de jours en stock continue d’augmenter.
4/11
December 4, 2025 at 10:41 AM
Y a-t-il un lien avec l’équipement du laboratoire, moins lourd en SHS et math ?
Y a-t-il au contraire une raison du côté de l’enseignement ?...

Le taux de féminisation des dossiers retenus est en hausse, de 35% en 2019 à 44% en 2024, porté par les communautés les plus paritaires, SHS et biologie.
7
November 28, 2025 at 1:11 PM
Pourquoi les communautés SHS et mathématiques se mobilisent davantage dans cet accueil en délégation ?
Est-ce juste une histoire de bouche-à-oreille qui devient une tradition ?
D’une tradition du style « j’ai besoin d’une année à 100% pour écrire tel bouquin » ?
6/8
November 28, 2025 at 1:11 PM
Quid de la répartition par institut ?
Plus de la moitié des accueils en délégation relèvent des sciences humaines et sociales. En fait, la répartition des possibilités se fait au quasi-prorata des dossiers déposés par institut ; il y a juste une enveloppe ministérielle confiée en + à l’INSHS.
5/8
November 28, 2025 at 1:11 PM
L’évolution des dernières années laissent apparaitre une hausse du nombre de demandes face à une stagnation des possibilités, ce que le CNRS parait essayer de compenser en transformant des demandes de décharge complète en demi-décharge.
4/8
November 28, 2025 at 1:11 PM
Photographie de la campagne 2024-2025
Sur les 1 260 demandes déposés, 819 ont été retenues ; ce qui, compte-tenu des demi-décharges, représentent 555 ETPT pour 970 ETPT demandés.
3/8
November 28, 2025 at 1:11 PM
Tout ça pour imposer une hausse massive de la part agent du repas en septembre 2025, voir le graphe joint.

Le manque à gagner pour le CNRS est d’environ 2M€ par an, soit environ 0,7% de sa subvention d'Etat. N'y a-t-il donc pas la moindre marge de manœuvre nul part ?
9/11
November 19, 2025 at 1:10 PM
Ainsi, en 2024, en restauration propre, un repas coutait 10,15€, dont 3,62 payé par l’agent et 5,37 par l’établissement, ce qui représente 53%. Cette part était de 46% en 2022, une hausse que la direction du CNRS trouve insupportable.
8/11
November 19, 2025 at 1:10 PM
On s’aperçoit que le cout d’un repas a fortement augmenté depuis 2019, passant de 7,77€ HT cette année-là à 10,15€ en 2024.

Dans un contexte inflationniste, les prestataires de restauration ont demandé un réexamen des tarifs, ce qui a amené l'organisme à supporter cette hausse.
7/11
November 19, 2025 at 1:10 PM
Niveau €, le budget se divise en 3 grands types : restauration propre (63%), gérée directement par le CNRS, restauration hébergée (34%), gérée par un autre établissement via une convention, et les titre-repas 3%.
6/11
November 19, 2025 at 1:10 PM
Déjà, le nombre de repas remonte, sans atteindre les chiffres pré-Covid, le télétravail est sans doute passé par là.

A titre d’info, le nbre de repas par an et par agent CNRS (tous statuts) s’élève à environ 71, ce qui est peu au regard du nombre de jours de travail par an (environ 220).
5/11
November 19, 2025 at 1:10 PM
En tout cas, vu son poids, la direction de l’organisme observe l’évolution du budget restauration à la loupe, et on constate qu’après la période Covid, il revient à un niveau proche des 20M€. Mais quelle réalité derrière cette apparent retour à la normalité ?
4/11
November 19, 2025 at 1:10 PM
La restauration occupe un poste majeur, environ 56% des 36M€ du budget de l’action sociale.

Mais cela ne pointe-t-il pas aussi les faiblesses des autres postes (logements, berceaux, handicap…) ? Ainsi, le CNRS s’appuie, de + en +, sur les offres interminist. ou le CAES pour pallier ses lacunes.
3/
November 19, 2025 at 1:10 PM
C'est variable selon les sections.
Les syndicats ont accès à qqs stats, en voici une synthèse sur les 2 dernières années. Il faut checker à quelle institut se rattache telle section.
November 14, 2025 at 12:19 PM
Oui, c'est ça, voici les chiffres du RSU 2024 tout chaud
Et donc 25% des DU
November 12, 2025 at 6:24 PM
Au niveau de l’évolution pluriannuelle de ce % pour les DU, il a augmenté un peu entre 2017 et 2023, suivi d’un tassement en 2024.
6/10
November 12, 2025 at 2:06 PM
Et au niveau des labos ?
En 2024, sur les 1 152 unités recensées, 293 femmes dirigent la structure, ce qui fait 25,4%.
Et 433 femmes sont DU adjointes parmi les 1 155 personnes recensées à ces fonctions, soit 37,5%.
5/10
November 12, 2025 at 2:06 PM
Bref, à première vue, et à tous petits pas, les sites importants de recherche semblent se renforcer au détriment des petits. Et la politique de site post-keylabs pourrait renforcer cette tendance, à suivre.
10/11
October 17, 2025 at 10:15 AM
2. La dynamique CNRS selon les régions => par exemple, la baisse dans le Centre Est (Nancy, Besançon, Reims, Metz…) et Centre Limousin Poitou Charentes (Poitiers, Tours, Orléans, Limoges…) et aussi à Nice.
9/11
October 17, 2025 at 10:15 AM
L’évolution par année souligne deux phénomènes :

1. Les différents bouleversements en IDF => fusion DR01-DR03 en 2015, des changements de « portefeuilles » dans les années qui suivent, fusion DR16-DR19 en 2023.
8/11
October 17, 2025 at 10:15 AM
La répartition par DR n’est pas très significative, sauf celui de montrer l’importance des grandes villes universitaires et scientifiques (Paris et IDF, Lyon, Aix-Marseille, Toulouse, Montpellier, Grenoble…).
7/11
October 17, 2025 at 10:15 AM
A noter, la répartition par institut des postes frais (concours) résulte d’un arbitrage en comité de direction du CNRS, mais en réalité surtout du PDG. Après, il peut y avoir des ajustements des effectifs en lien avec les mobilités internes, réintégrations, des vagues de retraites, etc.
6/11
October 17, 2025 at 10:15 AM