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Writing on public health and disinformation.
Covid is not over. Mask up! 😷
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(parenthèse)
Quelqu'un s'y connaîtrait en nuages ? 🤔
Photo d'un nuage au dessus de l'océan, au moment du coucher de soleil.
November 12, 2025 at 6:08 PM
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« La "science des symptômes" is the new "psychosomatique", c'est la même chose mais en pas pareil, et dorénavant on vendra le même bullshit que d'habitude." » - Signé C. Lemogne.

Sinon, un thread plus sérieux sur cette tribune, certains de ses signataires et les enjeux 👇
« Parallèlement à la “science des maladies”, nous plaidons la “science des symptômes” » Tribune Collectif Dans une tribune au « Monde », un collectif de chercheurs et cliniciens plaide pour dépasser l’opposition entre corps et esprit, et repenser la compréhension des symptômes à la lumière des neurosciences.
November 8, 2025 at 1:18 AM
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en regrettant "l'absence de nuance" et le "refus de la complexité".

L'image publiée avec l'article de Pollak (↑), neuropsychiatre (South London and Maudsley NHS Foundation Trust and King’s College Hospital), est à cet égard assez parlante...
37/
Image d'un homme à tête de virus, entouré de virus, et allongé sur une table d'examen, sous perfusion. Un psychiatre se tient à ses côtés, assis sur une chaise et prenant des notes. En face du patient, sur un tableau où figure un psychiatre, est inscrit "RIP psychiatry"
November 8, 2025 at 1:09 AM
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Bien sûr sous couvert de défendre une approche "holistique". Éventuellement contre un "réductionnisme inflammatoire" (qui n'existe pas vraiment), voire en amalgamant des problèmes de santé publique résultant de choix politiques bien réels avec le complotisme et l'antivaxisme ou
36/
There is a political aspect here, too: we have begun to move beyond traditional distinctions like left and right, and into a political ecosystem in which one of the most salient axes of belief is between trust in institutions, on the one hand, and a deep distrust of those on the other. With that distrust—which used to be but is no longer exclusively associated with the libertarian right—comes an embrace of ‘mavericks’, heterodox influencers, ‘doing one’s own research’, and a rejection of complexity and nuance. The distrust in our scientific and medical institutions that was catalysed by the COVID-19 pandemic will take years, if not decades, to heal. And this distrust has been amplified and effectively weaponized by critics of medicine. Common to a good deal of this discourse is the language of inflammation. The narrative runs like this: you are being inflamed by a government or state apparatus that subjects your body to all kinds of ills, from contaminants in the food chain to dangerously untested vaccine programmes. And it is incumbent on the individual to reclaim their autonomy by fighting this inflammation. One need only drop in to Instagram for a moment to notice that, bizarrely, one of the most frequent side-hustles of right-leaning conspiracy trolls these days is selling overpriced supplements ‘scientifically proven’ to reduce inflammation.8 In much the same way that it is easy to pin the world’s political ills on the workings of a single shadowy government conspiracy, this logic is mirrored in inflammatory reductionism’s attempts to paint any departure from wellness as a result of inflammation caused by what we voluntarily or involuntarily put into our bodies. To be free of inflammation, then, is to thrive in spite of the toxicity that defines modern living.
November 8, 2025 at 1:09 AM
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Et puis doit-on être surpris d'y retrouver également la conception de la santé défendue par Alice Desbiolles, signataire de la déclaration de Great Barrington (2020) qui soutient la stratégie libertarienne d'infection de masse par le Covid au détriment de la prévention collective ?
33/
Les symptômes, surtout chroniques, résultent rarement d’une cause unique. Ils émanent d’un réseau de causes multiples. Parallèlement à la « science des maladies », nous plaidons pour que la « science des symptômes » devienne un pilier de la recherche et de la formation médicale. L’offre de soins doit également être repensée en conséquence, pour proposer une prise en charge véritablement biopsychosociale et multidisciplinaire dans laquelle tous les symptômes sont pris au sérieux. Pour qu’enfin le fantôme de Descartes cesse de nous hanter en nous demandant si les symptômes sont « réels » ou « dans la tête ».
November 8, 2025 at 1:09 AM
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Et la tribune de C. Lemogne est elle-même assez explicite :

la recherche d'un diagnostic impliquant une cause organique est coûteuse pour la société (arrêts de travail prolongés, examens...),
31/
Une longue quête Le risque est alors que les personnes concernées entreprennent une longue quête, souvent coûteuse, frustrante, voire angoissante, pour trouver la cause organique de leurs symptômes persistants, alors que les neurosciences cognitives apportent désormais à ce phénomène des explications... cartésiennes. Le coût, personnel comme sociétal, de cette impasse est considérable : multiplication des examens souvent inutiles ; traitements inappropriés; arrêts de travail prolongés; retentissement sur les vies familiale, sociale et professionnelle... La prise en compte des facteurs cognitifs, émotionnels et comportementaux qui concourent aux symptômes arrive souvent trop tard, voire n'arrive jamais.
November 8, 2025 at 1:09 AM
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Mais sur le fond ils l'ont pas changé d'avis sur l'influence de la psychologie.

L'exemple du cancer (où le patient a des symptômes après l'arrêt du traitement) suggère que pour eux, une fois l'infection terminée, la persistance des symptômes, qu'ils ne nient pas, est *purement* psychologique.
9/
Lorsqu’une personne soignée pour un cancer a fait l’expérience répétée de nausées après une chimiothérapie, il peut ensuite lui suffire de revoir la salle de perfusion pour que le malaise réapparaisse : quelle est alors la cause de ces nausées ? La chimiothérapie qui les a initialement provoquées ? Ou le fonctionnement du cerveau qui, par apprentissage, les perpétue ?
November 8, 2025 at 1:09 AM
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C'est ainsi que ces charlatans réécrivent l'histoire et sèment le doute en dénonçant un "dualisme" qui opposerait la réalité des symptômes et leur déni.

Mais...
6/
November 8, 2025 at 1:09 AM
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Certes, ils ne peuvent plus vendre sans preuve que le CL est lié à une croyance du patient.

Mais pour Ranque et Lemogne, *il faut* que le Covid Long soit dans la tête, d'une façon ou d'une autre voire de plusieurs manières à la fois. Et ils ont donc trouvé les neurosciences cognitives.
5/
En l’absence d’anomalies observables lors des examens de routine, elles redoutent qu’on ne leur dise que leurs symptômes sont « dans la tête ». Ce dualisme, souvent qualifié de « cartésien », – les symptômes seraient soit « réels », soit « dans la tête » – continue de hanter les débats autour du Covid long, mais aussi de la fatigue chronique, de la fibromyalgie et de bien d’autres maladies dont le diagnostic ne repose que sur les symptômes. Et, sur le terrain, les personnes qui en souffrent doivent souvent se battre pour faire reconnaître leur maladie comme « réelle » et non imaginaire, voire feinte. Pourtant, bien qu’il domine le discours public et médical, ce dualisme reflète une méconnaissance du rôle de l’organe le plus complexe de notre corps : le cerveau. Les symptômes sont, bien sûr, toujours réels, puisque ressentis. Ils sont aussi toujours construits « dans la tête » : lorsqu’une personne se cogne le tibia, le signal est transmis par les nerfs jusqu’au cerveau, qui crée alors la sensation douloureuse. Mais les neurosciences cognitives montrent que cette douleur n’est pas le simple reflet de l’atteinte corporelle. Elle émerge d’interactions entre le signal nerveux et les prédictions du cerveau. Il en va ainsi de tous les symptômes, comme l’illustre une expérience de cyclisme en réalité virtuelle : l’essoufflement des participants était influencé autant par l’effort « réel » (la résistance du pédalier) que par l’effort « attendu » (la pente virtuelle).
November 8, 2025 at 1:09 AM
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Parmi ses membres, on trouve notamment Paul Garner, qui s'est illustré par des positions sur l'EM et le Covid Long dépourvues de fondement scientifique, dommageables pour les patients.

Un autre membre du consortium écrira ceci :
2/
Long Covid is neither psycho­logical nor physical Responding to criticism: Modern brain research provides new insights into long-term symptoms and explains how symptoms can arise both with and without signals from the body, writes Silje Endresen Reme (pictured) (Photo: Universtity of Oslo)
November 8, 2025 at 1:09 AM
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Pas Casper a priori, mais déjà Ranque et Lemogne, parmi d'autres...(et je suis en train de vérifier les autres noms, c'est déjà pas triste 🙄).
Premiers signataires : Cédric Lemogne, professeur de psychiatrie, France ; Victor Pitron, psychiatre, France ; Omer Van den Bergh, professeur émérite de psychologie, Belgique. ¶Signataires : Pascal Cathébras, professeur de médecine interne, France ; Béatrice Garcin, professeure de neurologie, France ; Paul Garner*, professeur émérite d’infectiologie, Royaume-Uni ; Xavier Gocko, professeur de médecine générale, France ; Live Landmark*, chercheuse en psychologie, Norvège ; Henri Partouche, professeur de médecine générale, France ; Brigitte Ranque, professeure de médecine interne, France ; Silje Endresen Reme*, professeure de psychologie, Norvège ; * Au nom du Oslo Chronic Fatigue Network.
November 7, 2025 at 1:37 PM
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Le psychosomatique sous vernis scientifique est un charlatanisme qui met les patients en danger.

2/2

(Suite alt texte ↓)
o The Conditions can be understood: The symptoms of these illnesses can be understood as adaptive responses evolved through evolution to keep us safe by signaling issues like tissue damage and resource depletion. o Balancing Activity and Rest: Following an initial rest period, gradual and supervised activity is important for rehabilitation. Fatigue and other symptoms following activity do not necessarily indicate danger or lack of energy. Instead, a gradual approach to increasing activity, supported by credible explanations of the symptoms increase the chances of recovery. o Ethical and Inclusive Approach: Some patients have faced mistrust and dismissal of their symptoms, perhaps resulting in a defensive narrative that downplays the role of psychological and social factors. It is crucial that we adopt an ethical and inclusive approach, that allows us to develop and evaluate a wide range of treatments, including those that involve psychological and social aspects. o Valuing the Patient Perspective: The patient´s voice is important. The voice of patients who have improved or recovered through cognitive, behavioural, or stress reduction strategies can offer valuable insights and should also be heard. o A Potentially Harmful Perspective: Portraying these conditions as incurable diseases, not only fuels fear, hopelessness and patient disempowerment, but may also be harmful as it impedes effective treatment programs and recovery. o An urgent Need for more Open Dialogue: There is an urgent need for a more open public dialogue about the understanding and treatment of these conditions.
November 7, 2025 at 1:29 PM
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Des signataires font partie de l'Oslo Chronic Fatigue Consortium, qui promet de guérir l'EM et le CL, tout en niant les signes biologiques.

"Les symptômes sont finalement tous perçus par le cerveau et peuvent résulter uniquement des activités des réseaux neuronaux cérébraux."

@lemonde.fr 🤡
1/2
Capture d'écran d'une page du site Oslo Chronic Fatigue Network. A fresh perspective on chronic fatigue syndromes and post-covid conditions o Challenging Misconceptions: Contrary to common belief, severe fatigue syndromes are not necessarily incurable; improvement and even recovery is indeed possible. o Limitations of Current Labels: Existing specific diagnostic labels like myalgic encephalomyelitis/ chronic fatigue syndrome, post-covid19 syndrome, exhaustion syndrome, and burnout, each with their own different treatment, may be misleading as the symptoms of these conditions overlap. o Taking a holistic perspective: After over 40 years of research on CFS/ME, no specific biological pathology has yet been identified. We therefore propose that it is time to consider a more holistic view, encompassing biological, psychological, and social factors. o Real Symptoms produced by the brain: The symptoms are undoubtedly real, but they may not always indicate bodily disease. Symptoms are ultimately all perceived in the brain and can arise purely from activities of the brain’s neural networks.
November 7, 2025 at 1:29 PM
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Qui est surpris que D. Barraud, qui a banalisé la mort des plus vulnérables, s'est opposé à la surveillance des eaux usées, et qui était membre de la SFAR, asso qui a mis fin aux tests Covid en lieux de soins avec la SF2H,

valide aujourd'hui la limitation des arrêts maladies ?

Pas moi 🤷‍♀️
Group of Experts (SFAR) Damien Barraud, Isabelle Constant, Pauline Devauchelle, Nicolas Donat, Clément Hoffmann, Mathieu Jeanne, Jeanne Jonqueres, Thomas Leclerc, Matthieu Legrand, Marie-Reine Losser, Célia Lucas, Olivier Pantet, Antoine Roquilly, Anne-Françoise Rousseau, Sabri Soussi.
November 2, 2025 at 2:07 PM
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Pas nouveau, ça fait un moment en réalité.

Il s'est opposé à la surveillance des eaux usées (2023), RT Vinay Prasad (comme Docdu16), l'un des pires désinformateurs sur le Covid, et a quand même lâché qu'après tout les gens mouraient de maladies depuis longtemps...
1/2
Damien BARRAUD MD @fluidloading. "Je t'emmerde Bisous" C-A GUSTAVE @C_A_Gustave. 1/24 "Tant parmi les libertariens "primaires" que chez certains médecins se prétendant les "chevaliers blancs" de la bonne science, je vois monter un discours qui me laisse plus que dubitatif. Ils s'opposent à la surveillance des eaux usées et à la gestion de la qualité de l'air" Damien BARRAUD MD @fluidloading Poke @docdu16 Vinay Prasad MD MPH @VPrasadMDMPH. Jun 20 JUST OUT in @JAMAOnc We look at all Adjuvant & Neoadjuvant drugs approved by FDA in last 5 years 43% of the time trials DON'T SAY what control arm pts get at relapse 75% of the time it is SUBOPTIMAL This means OS is "UNRELIABLE*... Tweet de Damien Barraud, 1er août 2023, au sujet de la surveillance des eaux usées : "Aucun intérêt à partir colorier de jolies cartes Merci d'arrêter avec ce truc là"
November 2, 2025 at 2:00 PM
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Vous reconnaissez l'argumentation de Gollnisch, qui évoquait aussi des "lois liberticides" ?

Ce dévoiement des libertés, c'est exactement le propos, au final, de ceux qui soutiennent ""professionnellement"" Gentillet.
www.lemonde.fr/societe/arti...

15/
"Bruno Gollnisch était arrivé de manière théâtrale en toge, et avait prononcé, avant de pénétrer dans les locaux de l'université, un bref discours relayé par une sono. "Aujourd'hui, on risque d'être poursuivi par les tribunaux si on s'interroge sur l'histoire de France, a-t-il lancé du haut des marches. On risque d'être taxé de xénophobie si on demande la légitime préférence nationale et d'homophobie si on exprime une préférence pour la famille naturelle composée d'un papa et d'une maman." "Je suis un universitaire irréprochable, ma toge est sans tache. Je n'ai jamais mélangé mon engagement politique avec mon enseignement", a-t-il plaidé. "LOIS LIBERTICIDES" "Aujourd'hui, je suis poursuivi sur le plan professionnel et judiciaire, sur intervention personnelle de deux ministres, pour avoir déclaré que la question de la deuxième guerre mondiale devait faire l'objet d'un libre débat, a-t-il insisté. Ces lois liberticides et imbéciles doivent être abrogées", a conclu le numéro deux du FN."
October 31, 2025 at 4:27 PM
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Gollnisch contesta la décision devant le Conseil d'État, sans succès. Pour la haute juridiction l'université avait suffisamment motivé sa décision et retenu une qualification juridique correcte : www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb...
Comme quoi quand on veut...

13/
Considérant, en quatrième lieu, qu'après avoir exposé ces faits, et considéré, d'une part, qu'ils visaient à contester la neutralité et l'objectivité d'une personnalité scientifique, notamment en raison de son appartenance religieuse, d'autre part, qu'ils étaient de nature à semer le doute sur l'existence des chambres à gaz, le conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche, qui a suffisamment motivé sa décision sur ce point, a pu, sans commettre d'erreur de qualification juridique, juger qu'ils étaient contraires à la déontologie universitaire, qu'il appartient à M. A, en sa qualité de professeur des universités, de respecter, et qu'ils justifiaient une sanction disciplinaire ; que s'il a, par ailleurs, relevé que le comportement de M. A avait provoqué des désordres au sein de l'université, ce motif est, en tout état de cause, surabondant
October 31, 2025 at 4:27 PM
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Ensuite il y a la déontologie de l'Université.

On songe alors à l'affaire Gollnisch, suspendu par son université pour voir contesté la neutralité et l'objectivité d'un chercheur en raison de sa religion, et semé le doute sur l'existence des chambres à gaz.

11/
Bruno Gollnisch exclu pour cinq ans de l'université Lyon-III Le 3 février, le ministre de l'éducation nationale, François Fillon, avait suspendu le numéro deux du Front national de ses fonctions universitaires pour une durée d'un an, "dans l'intérêt du service". Le Monde Publié le 04 mars 2005
October 31, 2025 at 4:27 PM
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Acermendax est intervenu relativement discrètement ici, mais quand même...Et sans surprise de toutes façons.
Benjamin Brillaud @notabenemovies.bsky.social • 1j Je considère que c'est une erreur de l'avoir soutenu clairement. Mais est ce que ça justifie de lui pisser dessus massivement en tirant un trait sur tout ce qu'il a pu faire et fait encore ? Franchement ça a été ultra violent je trouve...et ça me casse les bonbons de voir ça. Je crois qu'on a tous le droit d'avoir des erreurs de jugement à un moment donné (ou une opinion différente aussi) sans que ça atomise tout notre travail. Ça fleurte avec la pureté militante qui a entraîné tant de mes connaissances en burn-out militant. Et c'est pas le moment de perdre des camarades Acermendax @acermendax.bsky.social Je suis d'accord avec ça. Il serait de bon alois de s'en souvenir aussi quand c'est inconfortable. 29 octobre 2025
October 30, 2025 at 11:15 PM
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C'est pire que ça.
Le gouvernement veut faire payer son refus de mener une politique de prévention en pleine pandémie de Covid, dont les séquelles sont pourtant largement documentées, que l'on soit à haut risque ou pas (et ça concerne les enfants aussi).
1/
"Nous ne pouvons pas parler du COVID au passé. Il est toujours avec nous, il provoque toujours maladie aiguë et COVID long, et il tue toujours. (...) Le monde peut vouloir oublier le COVID-19, mais nous ne pouvons pas nous le permettre." - Directeur général de l’OMS, A.G. Tedros, 10 décembre 2024
October 30, 2025 at 7:19 PM
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Entre le thread et les excuses, il s'est plaint de menaces dont il s'est également servi (il ne sait même pas si ces menaces viennent d'antifas/de gauche, mais le suggérer n'est pas un problème apparemment) pour avoir raison.

Il a ainsi gagné le soutien...de R. Chiche 🤷‍♀️
10/
Actuel Moyen Âge "J'ai fermé les commentaires sur mon post (ce que je fais rarement) mais voilà un exemple de ce que je reçois. Et j'ai pire en mp. Même si vous pensez que j'ai déconné (ce que je peux entendre et j'y réfléchis !), ça mérite ça ? Ça ne vous fait pas à votre tour réfléchir ?" Le message est accompagné d'une capture d'écran le menaçant. En réponse, R. Chiche commente "En quoi le fait de défendre un professeur qui fait très bien son travail est "déconner" ? Les principes républicains ne sont pas à géométrie variable et soutenir un collègue dont des crétins réclament l'expulsion en raison de son orientation politique est la moindre des choses."
October 29, 2025 at 12:14 AM
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Bref, ce que l'article, évoquant Trump, néglige de dire, donc, c'est que même Biden, un démocrate, a mis en oeuvre cette stratégie, puisque le "vivre avec" décrété en 2021-2022 c'est juste l'autre nom de la GBD.

Ci-dessous l'Institut Brownstone :
15/
"The guidelines have moved sharply away from social distancing, quarantining, track-and-tracing, asymptomatic testing and even vaccine requirements, abolishing the distinction by vaccination status for most settings. Their net threefold effect is to transfer much of the responsibility for risk reduction from institutions to individuals, to prioritize preventing severe illness over slowing transmission, and to switch from sweeping population-wide precautions to targeted advice for vulnerable populations. If this looks similar to the much-reviled Great Barrington Declaration of October 2020 that merely restated the pre-Covid-19 medical-scientific consensus, that’s because it is." "Les lignes directrices se sont fortement éloignées de la distanciation sociale, de la mise en quarantaine, du suivi et de la localisation, des tests asymptomatiques et même des exigences en matière de vaccination, abolissant la distinction en fonction du statut vaccinal dans la plupart des contextes. Leur triple effet net est de transférer une grande partie de la responsabilité de la réduction des risques des institutions aux individus, de donner la priorité à la prévention des maladies graves plutôt qu'au ralentissement de la transmission, et de passer de précautions générales pour l'ensemble de la population à des conseils ciblés pour les populations vulnérables. Si cela ressemble à la déclaration de Great Barrington d'octobre 2020, très décriée, qui ne faisait que réaffirmer le consensus médico-scientifique d'avant la crise de la vache folle, c'est parce que c'est le cas."
October 19, 2025 at 3:39 PM
themis2023.bsky.social
C. Heneghan, par ailleurs membre de Collateral Global avec S. Gupta, a aussi relayé l'idée de "dette immunitaire" de R. Cohen, lobbyiste à la tête de diverses associations de pédiatrie 🇫🇷.

C'est non seulement faux mais en plus, c'est nier que le Covid a aussi un impact sur le système immunitaire,
7/
Professor Carl Heneghan, director of the University of Oxford's Centre for Evidence-Based Medicine, said: “At some point the immune deficit brought about by lockdowns has to be repaid. “In terms of the high levels of Group A Strep infections there have been notable increases in cases in the past, however what is different this time is the high levels of viral co-circulation in the community, and the high number of deaths in children.”
October 19, 2025 at 3:39 PM
themis2023.bsky.social
Sans surprise, dorénavant on fera comme d'habitude 🤷‍♀️

En plus, vous allez adorer vos réinfections Covid et découvrir, en plus des séquelles, la violence des mesures d'austérité en santé.

D'ailleurs on remerciera jamais assez @mediapart.fr d'avoir ignoré le scandale sanitaire qu'est le "vivre avec".
Affiche avec le message suivant : "Pandémie en cours. SARS-CoV-2 n’est pas un rhume. Ce virus tue les plus vulnérables d’entre nous. Et tout le monde est à risque de Covid long et de séquelles. C’est une maladie multisystémique qui peut atteindre n’importe quel système ou organe. Et les risques augmentent avec les réinfections. SARS-CoV-2 se transmet par aérosols, il se transmet dans l’air que vous respirez dans les lieux clos (bondés ou pas) et les lieux extérieurs (si proximité). Le port d’un masque FFP2, symptômes ou pas, et la qualité de l’air intérieur sont efficaces pour se protéger et protéger les autres. Ce sont des gestes de sécurité et de solidarité.
October 14, 2025 at 9:43 PM
themis2023.bsky.social
plaidant pour "l'acceptation courageuse de l'exposition" en invoquant les narratifs qui ont servi à normaliser l'infection de masse : protection ciblée des plus vulnérables, moindre virulence, impossibilité de contrôler les infections, immunité collective inexistante.
#PasQueRaoult #PasQueRFK
12/
TIME SIGN UP FOR OUR IDEAS NEWSLETTER POV There are three segments of society-policymakers, experts (scientists, biomedical and public health practitioners), and the media-that form an ecosystem that has played a major interactive role in shaping our current pandemic paradigm. This ecosystem is also the one that could help catalyze and speed a frame-shift. The U.S. COVID ecosystem is largely playing catch-up with the public rather than leading this transformation. Separately and together it forms powerful networks to enable those with an understandable difficulty of letting go of three years of ingrained avoidance behaviors to cling to their practices. This collective force still leaves some people suggestible to health alarms fearful, anxious, and confused about how to protect themselves and others in a time of rapid societal transformation. The U.S. is now at a major pandemic crossroad. "Follow the science" has been a central policy guidepost in the pandemic. Science and public health knowledge and expertise is the conduit to both sound policy and public education through media channels. New courageous "accept exposure" policies, public education and behavior change strategies are needed to capture the benefits of the new paradigm. This could be a major step in bridging our national COVID divide.
October 14, 2025 at 2:11 PM