@amnesty.org appelle à un traité de non-prolifération des combustibles fossiles.

La cérémonie aura lieu le 26 novembre à #Genève. Rejoignez-nous pour célébrer leur courage 💥

Inscriptions pour participer à la cérémonie ou livestream 👇https://www.martinennalsaward.org/2025-edition/

L’ #UE risque de se rendre complice en poursuivant sa coopération migratoire sans garanties en matière de droits humains.

Les gouvernements doivent s’engager pour une sortie des énergies fossiles complète, rapide, équitable et financée, et une transition juste pour touxtes.

@amnesty.org s’allie à des défenseur·euses du climat venu·es du Brésil, d’Équateur, du Paraguay et du Pérou – parmi les régions les plus dangereuses pour défendre l’environnement – pour exiger une action urgente.

Amnesty International exige une enquête rapide, indépendante, impartiale et supervisée internationalement.
Le racisme structurel et l’impunité ne peuvent plus être la norme.

Résultat : leurs voix sont exclues des forums où se décident leurs droits. @amnesty.org appelle à des procédures rapides, transparentes et non discriminatoires.

@suisse.amnesty.ch déplore ce jugement. Les universités doivent protéger les espaces de pensée critique – pas les criminaliser. La liberté d’expression et de réunion sont des droits fondamentaux garantis par la Constitution et les accords internationaux.

📣Il y a quelque temps, Amnesty Suisse a lancé une pétition pour appeler à la solidarité et à la libération des personnes détenues.
action.amnesty.ch/fr/amnesty-i...

L'UE et la Suisse maintiennent pourtant leur coopération avec la Tunisie en matière de politique migratoire. Jusqu'à présent, ni l'UE ni la Suisse n'ont pris publiquement position. Nous appelons les autorités à être plus actives et à s'engager résolument pour la libération des personnes détenues.

Après la signature d'un accord migratoire avec l'UE en 2023, le nombre de personnes arrivant en Europe depuis la #Tunisie a considérablement diminué. Mais en même temps, de nombreux rapports font état d’une augmentation des violations des droits humains contre les migrant·e·s et les réfugié·e·s.

Les ONG qui défendent les demandeur·euse·s d'asile sont diffamées et poursuivies par les autorités pour «trafic d'êtres humains». Une situation particulièrement alarmante. Depuis juin 2024, le droit d'asile est suspendu en Tunisie, avec de graves conséquences pour les personnes en fuite.