Cartouches XXI
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Cartouches et rations de combat.
Culture et métapolitique.
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Vivre libres entre égaux, une idée ancienne.
Un discours d’Otanès, noble perse, dans les Histoires d’Hérodote :
« Perses, puisqu’il faut que l’un de nous devienne roi, soit que le sort ou les suffrages de la nation le placent sur le trône, soit qu’il y monte par quelque autre voie, vous ne m’aurez point pour concurrent ; je ne veux ni commander ni obéir : je vous cède l’empire, et je m’en retire, à condition cependant que je ne serai sous la puissance d’aucun de vous, ni moi, ni les miens, ni mes descendants à perpétuité. » Hérodote, Histoires (v. -440)
July 11, 2025 at 10:35 AM
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Francis Ponge nous parle, depuis 1952, dans La Rage et l’expression.
Ponge, qui a aussi écrit :
« Brandis ta rage courte
En torche ! Rugis rouge ! »
July 9, 2025 at 10:10 AM
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Article intéressant dans le dernier PhiloMag (n°191) sur la Cybernetic Culture Research Unit (Warwick) et ses contradictions. Extrait :
July 7, 2025 at 10:38 AM
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Les "hérétiques de l'ordre national", selon Abdelmalek Sayad (2/2) :
July 1, 2025 at 9:39 AM
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Abdelmalek Sayad dénonce la violence de l'État, dans L’Immigration ou les paradoxes de l’altérité (1/2) :
June 27, 2025 at 2:40 PM
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Quatre raisons pour lesquelles il faut lire
LE STYLE DE MARX, de Vincent Berthelier (Éditions sociales, 2025) :
1. Parce que Marx est inépuisable. Depuis les années 2010, les « études marxiennes » sont en pleine vitalité. Marx et l’écologie, Marx et l’émancipation, Marx et les mondes non-européens, Marx journaliste… On redécouvre un auteur souvent caricaturé ou réduit à un économicisme grisâtre, un auteur incontournable pour penser notre monde. 2. Parce que Berthelier nous permet de découvrir de nombreux travaux étrangers jusqu’ici peu connus. Dans un format accessible, c’est tout un pan de la recherche qui s’offre à nous : Ludovico Silva, Siegbert S. Prawer... 3. Parce que le style compte. Bertehelier montre qu’il y a des qualités stylistiques chez Marx, à rebours de bien des idées reçues. Il y a un « plaisir textuel [qui] contribue à rendre le renversement politique désirable ». Marx met en intrigue, recourt à des procédés, des jeux de mots. L'usage de mots étrangers permet de travailler les dissonances, de détruire l’illusion du naturel. L’antimétabole ouvre à la dialectique. L’écriture par concaténation facilite l’identification des processus. La prosopopée vise à « faire parler » sans parler « à la place de ». 4. Parce que Berthelier ne reste pas pour autant prisonnier du style. Il met aussi au jour les raisons de certains choix (écrire dans certaines langues pour élargir son audience, pouvoir toucher des « piges »). Il éclaire les limites de certains procédés stylistiques. Il met en avant les problèmes auquel Marx se confronte en conscience : populariser sans simplifier, rendre accessible sans trahir, ne pas céder à l’exigence de clarté du propos (« dépouillement stylistique »). Quoique le style soit signifiant, Berthelier montre bien qu’il n’est pas tout.
June 17, 2025 at 10:59 AM
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Un poème de Tristan Tzara qu’on peut déclamer partout à travers le monde...
Hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle hurle
June 10, 2025 at 11:05 AM
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Trois raisons pour lesquelles il faut lire...
JUSQU’AU BOUT. VIEILLIR ET RÉSISTER DANS LE MONDE OUVRIER, de Nicolas Renahy (La Découverte, 2024)
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1. Parce que c’est Nicolas Renahy. L’auteur a produit l’excellent Les Gars du coin. Enquête sur une jeunesse rurale (2005), ainsi que Mépris de classe. L'exercer, le ressentir, y faire face (2021). Il connaît particulièrement bien son sujet et son territoire d’étude. Même si on peut regretter que l’enquête reste cantonnée au territoire de Peugeot, Renahy offre de régulières perspectives d’élargissement. 2. Parce que c’est émouvant. Renahy note que les vieux militants ouvriers sont doublement invisibilisés, en tant qu’« ouvrier » et en tant que « vieux ». Mais il leur rend justement la parole et dignité, dans une démarche qui renvoie tant à la sociologie qu’à l’ethnographie. Et on s’attache aux différents membres de ce groupe d’anciens cégétistes. Ils doutent, ils affrontent le vieillissement, la mort, la maladie et les handicaps hérités de leurs années d’usine, les difficultés sociales. Ce ne sont pas des héros ni des modèles. Mais ils font face, avec ténacité et solidarité, et ne rendent pas les armes. Ils continuent à lutter pour l’emploi, les retraites, la Palestine… 3. Parce que ça casse les représentations et les fausses oppositions. L’enquête montre qu’il n’y a pas lieu d’opposer des ouvriers « tradi », qui ne seraient intéressés que par des questions économiques, à une gauche « bobo », réduite aux questions sociétales. Les ouvriers témoignent de multiples formes de solidarités depuis les années 1970 avec leurs camarades immigrés puis sans-papiers. Si la question du féminisme n’est pas fortement appropriée, elle n’est pas absente. De même, le vote des ouvriers-militants ne se reporte pas sur le FN-RN. Au contraire, ces camarades bataillent sans discontinuer contre l’extrême-droite et rien n’est pire à leurs yeux que d’envisager la « trahison » d’un ancien qui voterait pour le parti des Le Pen.
June 6, 2025 at 11:13 AM
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Capitalisme et Art authentique : une conciliation impossible :
« [Les œuvres d’art] sont les seules choses à n’avoir aucune fonction dans le processus vital de la société ; à proprement parler, elles ne sont pas fabriquées pour les hommes, mais pour le monde, qui est destiné à survivre à la vie limitée des mortels, au va-et-vient des générations. Non seulement elles ne sont pas consommées comme des biens de consommation, ni usées comme des objets d’usage : mais elles sont délibérément écartées des processus de consommation et d’utilisation, et isolées loin de la sphère des nécessités de la vie humaine. Cette mise à distance peut se réaliser par une infinité de voies. Et c’est seulement quand elle est accomplie que la culture, au sens spécifique du terme, vient à l’être. » Hannah Arendt, La Crise de la culture (1954)
May 19, 2025 at 11:16 AM
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La République ? Blanqui nous parle :
May 9, 2025 at 11:45 AM
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Dans Fahrenheit 451, la critique de la société va bien plus loin que la question de la destruction des livres.
Bradbury nous parle, depuis 1953 [2 vignettes] :
« Il m’arrive de penser que les conducteurs ne savent pas ce que c’est que l’herbe, les fleurs, parce qu’ils ne laissent jamais leurs yeux s’attarder dessus. Prenez un conducteur et montrez-lui le flou qui l’entoure. Si c’est vert, il dira : “Tiens, voilà de l’herbe !” Si c’est rose : “Voilà un jardin de roses !” Les taches blanches, ce sont des maisons. Les marron, des vaches. Un jour mon oncle s’est avisé de conduire lentement sur une autoroute. Il roulait à soixante-dix à l’heure ; il a eu droit à deux jours de prison. C’est drôle, non ? Et triste aussi, vous ne trouvez pas ? » « Vous n’êtes pas comme les autres. J’en ai vu quelques-uns ; je sais. Quand je parle, vous me regardez. Quand j’ai dit quelque chose à propos de la lune, hier soir, vous avez regardé la lune. Jamais les autres ne feraient ça. Les autres me planteraient là et me laisseraient parler toute seule. Ou me menaceraient. Personne n’a plus le moindre instant à consacrer aux autres. »
May 7, 2025 at 11:03 AM
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Cartouches XXI – 3000 abonnés !
Merci à toutes et tous pour vos abonnements, qui sont autant d’encouragements à poursuivre le partage de tout ce qui peut nourrir et unir pour l’émancipation collective.
Cartouches XXI – 3000 abonnés ! Merci à toutes et tous pour vos abonnements, qui sont autant d’encouragements à poursuivre le partage de tout ce qui peut nourrir et unir pour l’émancipation collective.
April 30, 2025 at 11:28 AM
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Illich nous parle, depuis 1971 [2/2] :
April 25, 2025 at 10:39 AM
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L'exposition Artemisia se tient au musée Jacquemart-André (Paris)
jusqu'au 3 août.
À cette occasion, je repartage deux vignettes mises en ligne l'été dernier :
April 14, 2025 at 10:36 AM
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Sieyès nous parle, depuis 1789 :
On connaît la célèbre formule de Sieyès au sujet du Tiers-État. Mais on ignore souvent une phrase qui suit de peu et se montre toujours d’une brûlante actualité : « Si l'on ôtait l'ordre privilégié, la nation ne serait pas quelque chose de moins, mais quelque chose de plus. »
April 11, 2025 at 11:45 AM
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Illich nous parle, depuis 1971 :
Vivre dans une société de consommation : « La liberté est [...] le fait de pouvoir choisir dans une gamme de produits conditionnés. » Ivan Illich, Une société sans école (1971)
April 7, 2025 at 11:14 AM
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Le romancier Richard Powers sur l'IA, dans @philomag.com :
April 3, 2025 at 9:56 AM
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ART = RÉSISTANCE [2/2]
Deleuze nous parle (conférence de 1987) :
« Quel est le rapport de l’œuvre d’art avec la communication ? Aucun. L’œuvre d’art n’est pas un instrument de communication. L’œuvre d’art n’a rien à faire avec la communication. En revanche, il y a une affinité fondamentale entre l’œuvre d’art et l’acte de résistance [...]. L’art c’est ce qui résiste. Tout acte de résistance n’est pas une œuvre d’art, bien que, d’une certaine manière il le soit. Toute œuvre d’art n’est pas un acte de résistance et pourtant, d’une certaine manière, elle l’est. »
March 31, 2025 at 11:34 AM
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ART = RÉSISTANCE
Gilles Deleuze nous parle :
Deleuze nous parle (conférence de 1987) : « Nous entrons dans des sociétés de contrôle […]. Ceux qui veillent à notre bien n’ont plus besoin ou n’auront plus besoin de milieu d’enfermement. Est-ce qu’il ne vaut pas mieux répandre les soins à domicile ? Les ateliers, les usines, ça craque par tous les bouts. Est-ce qu’il ne vaut pas mieux les régimes de sous-traitance et même le travail à domicile ? Même l’école, il faut bien surveiller actuellement les thèmes qui naissent. Ça se développera quand, dans quarante ou cinquante ans, on vous expliquera que l’épatant serait de faire en même temps l’école et la profession. Au lieu d’un regroupement d’école, ça pourra se faire tout à fait autrement, par Minitel, tout ça... Je dirai, par exemple, d’une autoroute, que vous n’enfermez pas les gens, mais vous multipliez les moyens de contrôle. Je ne dis pas que ce soit leur but unique. Mais des gens peuvent tourner à l’infini et, sans être du tout enfermés, être parfaitement contrôlés. »
March 24, 2025 at 12:21 PM
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Dans ce monde devenu si violent, la simple évocation de la douceur prend une charge révolutionnaire.
Quelques vers de Jaccottet pour résister au rouleau-compresseur de la brutalité et du cynisme [4 vignettes] :
« Tel est le monde. Nous ne le voyons pas très longtemps : juste assez pour en garder ce qui scintille et va s’éteindre pour appeler encore et encore, et trembler de ne plus voir. Ainsi s’applique l’appauvri, comme un homme à genoux qu’on verrait s’efforcer contre le vent de rassembler son maigre feu… » « Ah ! Le monde est trop beau pour ce sang mal enveloppé qui toujours cherche en l’homme le moment de s’échapper […]. Il est trop d’or, il est trop d’air dans ce brillant guêpier pour celui qui s’y penche habillé de mauvais papier. » « Nous habitons une maison légère haut dans les airs le vent et la lumière la cloisonnent en se croisant, parfois tout est si clair que nous en oublions les ans, nous volons dans un ciel à chaque porte plus ouvert. » « Il se peut que la beauté naisse quad la limite et l’illimité deviennent visibles en même temps, c’est-à-dire quand on voit des formes tout en devinant qu’elles ne disent pas tout, qu’elles ne sont pas réduites à elles-mêmes, qu’elles laissent à l’insaisissable sa part. » « Peu m’importe le commencement du monde Maintenant ses feuilles bougent maintenant c’est un arbre immense dont je touche le bois navré Et la lumière à travers lui brille de larmes » « Accepter ne se peut comprendre ne se peut on ne peut pas vouloir accepter ni comprendre On avance peu à peu comme un colporteur d’une aube à l’autre » « Arrête-toi, enfant: tes yeux ne sont pas faits pour voir cela, ferme-les encore un moment, dors en aveugle, oh encore un moment ignore, et que tes yeux restent pareils au ciel naïf. Recueille les oiseaux et la lumière un temps encore, toi qui grandis pareille à un tremble scintillant, ou recule – si tu ne veux pas crier de peur sous le harpon. »
March 20, 2025 at 11:31 AM
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Michelet nous parle :
March 17, 2025 at 11:32 AM
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Pourquoi il faut aller voir Nadia Léger, une femme d’avant-garde
(au musée Maillol, jusqu’au 23 mars)
Masquée par le nom de son prestigieux mari, Nadia Khodossievitch fait l’objet d’une exposition. Quatre raisons pour lesquelles il faut aller la voir :
1- Une vie hors-norme Le destin de Nadia Khodossievitch est fascinant, à la mesure de celui de l’Europe entre 1914 et les années 1960. Née en Biélorussie en 1904, elle se prend de passion pour la révolution de 1917, étudie en Pologne puis se rend en France, tout en obtenant la nationalité soviétique qu’elle demandait. Durant l’Occupation, elle s’engage dans la Résistance en tant qu’agente de liaison au sein des FTP. 2- À la croisée des courants artistiques Jeune, Nadia suit les cours de Malevitch et réalise des œuvres suprématistes. Elle participe à la vague cubiste, fréquente Arp, Picasso ou Mondrian, avant de rejoindre l’atelier de Fernand Léger, où elle garde un style propre. Sa connaissance de l’art l’amène lancer une revue et à travailler pour des collectionneurs. L’artiste ne s’arrêtera jamais de chercher. Dans les années 1960, elle revient à des influences suprématistes, retravaille ses œuvres de jeunesse. 3- Une œuvre protéiforme Nadia Khodossievitch produit de la peinture (série de portraits comme grandes fresques), des tapisseries, des bijoux, de la mosaïque, des sculptures... 4- Un engagement sans faille Toute sa vie, Nadia Khodossievitch a milité pour la paix, l’antifascisme, la promotion de la culture et le dialogue interculturel, ainsi que la défense des classes populaires. Son engagement prend forme dans le quotidien (réalisation de banderoles pour des meetings...). Tableau Les Constructeurs Affiche de l'exposition.
February 3, 2025 at 11:28 AM
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Repas et révolution :
January 23, 2025 at 11:13 AM
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Les Situationnistes vous parlent, depuis 1966 :
« Ceux qui acceptent une ou plusieurs variantes du faux dialogue existant se font les défenseurs d’un nouveau genre de libre-échange, au nom d’un droit abstrait au dialogue à n’importe quel prix (prix à payer en concessions avouées au mensonge), et nous reprochent d’interrompre le faux dialogue. C‘est pourtant en ceci, et pas autrement, que nous pouvons être porteurs de la réalité du dialogue. » « L’idéologie du dialogue », Internationale situationniste (1966)
January 20, 2025 at 4:20 PM
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L'actualité m'incite à repartager : Six raisons pour lesquelles il faut lire…
Fabrice Riceputi, Le Pen et la torture. Alger 1957, l’histoire contre l’oubli (2024)
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January 7, 2025 at 4:48 PM