Et même art érotique. Curieux et désireux de découvrir de nouvelles cultures et de nouvelles personnes ayant les mêmes caractéristiques que moi , bienvenue.
INSTA: @regis_paris_2021
Je me suis livré à toi.
Tu m’as donné ton coeur,
Je t’ai ouvert le mien.
Tu m’as offert ton corps,
Je t’ai enlacé.
Tu as dévoilé ton âme,
je t’ai accueilli.
Ton toi résonne en moi,
Comme une partition de vie à écrire
À quatre mains, à deux êtres, à tue-tête…
Je me suis livré à toi.
Tu m’as donné ton coeur,
Je t’ai ouvert le mien.
Tu m’as offert ton corps,
Je t’ai enlacé.
Tu as dévoilé ton âme,
je t’ai accueilli.
Ton toi résonne en moi,
Comme une partition de vie à écrire
À quatre mains, à deux êtres, à tue-tête…
Je sais c'est louche
Puisque ma peau
A l'odeur de ton odeur
Au dehors il fait chaud
Non, pas sur les lèvres
Jamais de trêve
Et pas d'assaut
Le bonheur est dans la pente
Entre le sol et le vent
Entre l'oubli et l'oubli
Bel oiseau du paradis
Joue plutôt "jeux interdits"
Je sais c'est louche
Puisque ma peau
A l'odeur de ton odeur
Au dehors il fait chaud
Non, pas sur les lèvres
Jamais de trêve
Et pas d'assaut
Le bonheur est dans la pente
Entre le sol et le vent
Entre l'oubli et l'oubli
Bel oiseau du paradis
Joue plutôt "jeux interdits"
Non pas sur les lèvres/Même si j'en rêve/Même si je tremble
Et bien que mon coeur soit nu
Mon âme est revêtue
De pudeur et d'impudence
Non pas sur les lèvres/Même si j'en rêve/Même si je tremble
Et bien que mon coeur soit nu
Mon âme est revêtue
De pudeur et d'impudence
À la place j’ai des yeux
et des dents et d’autres choses encore
non vertes qui excluent l’osmose.
Alors méfie-toi, je ne plaisante pas,
dernier avertissement:
Cette voracité-là
emporte tout
avec elle ; impossible
d’en discuter calmement
et posément.
À la place j’ai des yeux
et des dents et d’autres choses encore
non vertes qui excluent l’osmose.
Alors méfie-toi, je ne plaisante pas,
dernier avertissement:
Cette voracité-là
emporte tout
avec elle ; impossible
d’en discuter calmement
et posément.
de mon corps s’estompent et je deviens
désir de m’assimiler au monde, y compris
à toi, si possible par la peau comme
le tour de passe-passe d’une plante avec l’oxygène ;
et de vivre d’un feu inoffensif !
Bonjour et bon week-end à tous
de mon corps s’estompent et je deviens
désir de m’assimiler au monde, y compris
à toi, si possible par la peau comme
le tour de passe-passe d’une plante avec l’oxygène ;
et de vivre d’un feu inoffensif !
Bonjour et bon week-end à tous
Tes yeux me scrute avec un air satisfait
Je ne réponds plus de moi tu me fais trembler
Ne vois-tu pas que je suis en train de perdre pied.
Lentement nous nous déshabillons, je commence à te caresser
Tu frémis sous mes mains impétueuses et déchaînées
Tes yeux me scrute avec un air satisfait
Je ne réponds plus de moi tu me fais trembler
Ne vois-tu pas que je suis en train de perdre pied.
Lentement nous nous déshabillons, je commence à te caresser
Tu frémis sous mes mains impétueuses et déchaînées
J’adore
J’adore
Le vrai bonheur est réservé ;
Qu’on m’applaudisse ou me condamne,
En deux mots je l’aurai prouvé :
Il jouit de toutes les belles,
Sans être du con le sujet ;
Ne trouve jamais de cruelles,
Et change, quand il veut, d’objet.
Le vrai bonheur est réservé ;
Qu’on m’applaudisse ou me condamne,
En deux mots je l’aurai prouvé :
Il jouit de toutes les belles,
Sans être du con le sujet ;
Ne trouve jamais de cruelles,
Et change, quand il veut, d’objet.
Gamahuché par l’aquilon,
Décalotte son large dôme
Ayant pour gland Napoléon.
Veuve de son foufeur, la Gloire,
La nuit dans son con souverain,
Enfonce — tirage illusoire ! —
Ce grand godemichet d’airain…
Gamahuché par l’aquilon,
Décalotte son large dôme
Ayant pour gland Napoléon.
Veuve de son foufeur, la Gloire,
La nuit dans son con souverain,
Enfonce — tirage illusoire ! —
Ce grand godemichet d’airain…
avec tes mots avec ta présence
nous nous transmutons
nous sommes aussi doux et chauds et tremblants
qu’un nouveau papillon d’or
l’énergie
indescriptible
presque insupportable
la nuit parfois je vois nos corps luire.
avec tes mots avec ta présence
nous nous transmutons
nous sommes aussi doux et chauds et tremblants
qu’un nouveau papillon d’or
l’énergie
indescriptible
presque insupportable
la nuit parfois je vois nos corps luire.
je sens la tiédeur de ton souffle;
j'entends le doux chant de ta voix: mais ce que tu me dis en chantant, je ne le comprends pas et je m'étonne.
Comment mon esprit pourrait-il saisir des choses lointaines alors que tous mes sens sont occupés à te voir et à te sentir!
je sens la tiédeur de ton souffle;
j'entends le doux chant de ta voix: mais ce que tu me dis en chantant, je ne le comprends pas et je m'étonne.
Comment mon esprit pourrait-il saisir des choses lointaines alors que tous mes sens sont occupés à te voir et à te sentir!
de mon corps s’estompent et je deviens
désir de m’assimiler au monde, y compris
à toi, si possible par la peau comme
le tour de passe-passe d’une plante avec l’oxygène ;
et de vivre d’un feu inoffensif.
de mon corps s’estompent et je deviens
désir de m’assimiler au monde, y compris
à toi, si possible par la peau comme
le tour de passe-passe d’une plante avec l’oxygène ;
et de vivre d’un feu inoffensif.